Publié dans Politique

ACTU-BREVES

Publié le vendredi, 26 avril 2024

L’Aviation civile de Madagascar (ACM) demeure ouverte à toute demande d'information supplémentaire concernant le RAM 10 000 et l'utilisation des drones.

Cela a été évoqué suite à la présentation et la clarification du nouveau Règlement aéronautique de Madagascar 10 000 et les questions qui demeurent sans réponse claire de la part de l’ACM. En effet, la rencontre organisée le 25 avril a rassemblé de nombreux acteurs dont les activités professionnels sont étroitement liées à l’utilisation de ces machines volantes. Les personnes issues des domaines médiatique, cinématographique, évènementiel, et similaire, ainsi que des consultants/formateurs en drones et le directeur Général de l’ENEAM, ont assisté à la présentation. L'ACM s'est engagée à accompagner tous les utilisateurs de drones pour les aider à intégrer le processus réglementaire dans leurs activités. Il est essentiel pour ces professionnels d'opérer dans le respect d'un cadre juridique légal. Trois grandes lignes ont été abordées lors de cet atelier. D’abord, la présentation générale du règlement, la gestion des accidents et incidents potentiels liés à l'utilisation des drones et une séance d'informations sur l'utilisation des drones à Madagascar. 

Réouverture de l’American Center d’Antananarivo

L'American Center d'Antananarivo a rouvert ses portes après des rénovations majeures, lors d'une cérémonie en présence de l'ambassadrice des États-Unis, Claire Pierangelo. Ce centre rénové vise à promouvoir la compréhension mutuelle et la coopération entre Madagascar et les Etats-Unis. Cette réouverture s'inscrit dans le cadre de la modernisation des cinq American Corners à Madagascar et aux Comores. L'ambassadeur a souligné l'importance de cette réouverture, la qualifiant d'étape cruciale dans le renforcement des liens bilatéraux. Elle a décrit cette initiative comme un voyage de découverte et de collaboration pour un avenir meilleur pour tous.

L'American Center est désormais équipé d'une imprimante 3D pour soutenir les étudiants en STEM. Il dispose d'installations pour des programmes en présentiel et en ligne, y compris des vidéoconférences et des cours d'anglais en ligne. Le centre offre également dix ordinateurs connectés à Internet haut débit. Les enseignants, étudiants et passionnés peuvent s'inscrire pour visiter le centre en ligne ou par email.  Les inscriptions sont traitées selon le principe du premier arrivé, premier servi. La réouverture a été soutenue par Shakaria Buckson, spécialiste régionale de l'engagement public pour l'Afrique de l'Est, et Craig Ferguson, conseiller en communication et affaires culturelles.

Morondava, renforcer la résilience urbaine face aux défis climatiques

L'inauguration des espaces verts urbains aménagés à Nosy-Kely et Morondava Centre a eu lieu dans la ville de Morondava hier. Ces espaces verts nouvellement créés visent à améliorer la qualité de vie des résidents locaux en offrant diverses installations. Les espaces verts comprendront des aires de jeux pour enfants, des jardins, l'installation d'éclairages solaires, des poubelles et des parkings. Ces aménagements permettront une amélioration de la qualité de l'air, du bien-être mental des résidents, ainsi qu'une réduction de la pollution. Celui-ci s'inscrit dans le cadre du projet régional de l'ONU-Habitat intitulé « Renforcer la résilience climatique urbaine en Afrique du Sud-Est ». Ce projet de 4 ans est financé par l’« Adaptation Fund » et mis en œuvre par l'ONU-Habitat en collaboration avec l’OXFAM, le centre technique régional DiMSUR et les partenaires gouvernementaux nationaux.

L'objectif est d'aider 4 pays africains, dont Madagascar, à renforcer leur résilience urbaine face aux défis climatiques. A Madagascar, ce projet est une collaboration entre le ministère du Développement et de l'Aménagement du territoire et le ministère de l'Environnement et du Développement durable.

Gérer les dangers qui menacent les patrimoines requiert du savoir-faire

En cas d’incendie, d’intempéries et autres catastrophes naturelles des sites sensibles comme les musées, les palais, il faut avoir les bon gestes. En effet, un détail dans l’intervention peut signifier le sauvetage ou non de tout un patrimoine national en un clin d’œil. C’est afin de parfaire les méthodes adéquates que le Bureau national de gestion des risques et catastrophes (BNGRC) prodigue des formations continues sur la gestion de ces sites. Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale des monuments et des sites, une attention particulière a été accordée aux « Monuments et sites résilients aux Catastrophes » à travers l'atelier qui s'est tenu hier au Palais d'Andafiavaratra. La réunion a vu la participation des représentants du BNGRC (Communication) et ceux impliqués dans la protection des sites sensibles. Les préparatifs possibles avant la catastrophe pour atténuer les dégâts et à ce qui devrait être fait pendant et après la catastrophe ; que faut-il sauvegarder d'avance et comment restaurer ces lieux et bâtiments uniques avec des normes qu'il faut respecter ? Telles sont les questions auxquelles les participants ont tenté de répondre au cours des travaux de groupe visant à améliorer la gestion de ces lieux et bâtiments spéciaux.  Pour le BNGRC en particulier, il a la grande responsabilité de pouvoir former les responsables de ces lieux et bâtiments uniques sur ce qu'il faudrait faire face à la catastrophe si elle se produit.

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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