Les témoins décrivent une scène apocalyptique.
« On a tout perdu, absolument tout. Il ne reste rien de nos maisons, de nos récoltes, de nos souvenirs », confie un sinistré, encore sous le choc. Selon les estimations locales, près de 90% des biens du quartier auraient été détruits, aggravant encore la précarité d’une population déjà vulnérable.
Face à cette catastrophe, les moyens de lutte contre l’incendie se sont avérés insuffisants. Les habitants ont tenté de maîtriser les flammes avec des moyens de fortune : seaux d’eau et branchages. Mais sans infrastructure adaptée ni équipe de pompiers, leurs efforts ont été vains. Le feu a continué son avancée jusqu’à ne laisser derrière lui qu’un paysage de désolation.
Un appel a été lancé, tant aux personnes de bonne volonté qu’au Gouvernement, pour venir en aide aux sinistrés. Les besoins sont immenses : nourriture, vêtements, abris temporaires, mais aussi soutien psychologique pour surmonter le traumatisme.
Les premières aides commencent à arriver, notamment sous forme de dons spontanés de la part des voisins et des Communes voisines. Cependant, les habitants espèrent une intervention rapide et significative des autorités pour reconstruire ce qui a été perdu.
La Rédaction