Célébration du 40e anniversaire de l’association Amitié Madagascar – Chine.
Une célébration à laquelle a participé la ministre des Affaires étrangères, Rafaravavitafika Rasata. Depuis plus de cinquante ans, cette coopération mutuellement bénéfique, fondée sur le respect mutuel et la solidarité, a permis des avancées majeures dans des secteurs clés tels que l’économie, le commerce, l’agriculture, l’énergie et la culture. Rasata a salué les efforts de l’association Amitié Madagascar-Chine et de la diaspora chinoise à Madagascar, qui ont contribué à promouvoir la compréhension mutuelle et à consolider les échanges entre nos peuples. Elle n’a pas manqué de réaffirmer la volonté de Madagascar à renforcer cette dynamique exemplaire de coopération.
Ma thèse en 180 secondes nous réussit bien.
Madagascar a de nouveau atteint le top 3 lors de la finale internationale à Abidjan. Sandra Ranaivomanana, qui poursuit un doctorat à l’Institut halieutique des sciences marines (IHSM) à Toliara, a obtenu le troisième prix dans ce concours et s’offre 1,2 million de francs CFA. Sur la scène du Palais de la Culture d’Abidjan en Côte d’Ivoire, elle a présenté sa thèse en 180 secondes sur le thème « Dynamique spatio-temporelle des ressources en poissons récifaux dans les petites pêcheries des côtes sud-ouest de Madagascar ». Le premier prix a été remporté par Antoine Ide, doctorant en sciences agronomiques et ingénierie biologique à l’université catholique de Louvain (Belgique), avec sa thèse intitulée : « Caractérisation de l’huile d’amande de Ricinodendron heudelotii et évaluation de son utilisation comme source d’acides linoléiques conjugués ». A la deuxième place, on trouve Akoua Okpeh Kotoutou, doctorante en biochimie à l’université de Lomé (Togo). Après Mamy Henintsoa Randrianjatovonarivo qui a également finit à la 3e place en 2022, la Grande île revient donc sur la scène des MT 180 , espérons que la prochaine édition de Montréal sera le sacre suprême pour nos doctorants.
Pas de formation, pas de badge professionnel pour les guides touristiques.
Les guides touristiques doivent suivre une formation pour devenir plus professionnels et obtenir des badges du ministère, a déclaré Viviane Dewa, ministre du Tourisme et de l'Artisanat, lors de la clôture de la deuxième édition du festival Marokintana le 23 novembre dernier. Elle a également insisté sur l'importance de préserver la nature, en soulignant la nécessité de planter des arbres pour protéger l'environnement. La ministre a rencontré des tours opérateurs et a mentionné qu'ils devraient travailler au développement de Nosy Be. Le festival s'est terminé par un défilé avec diverses organisations locales. Ce dernier était organisé sous forme de concours, où le premier prix était une vache, tandis que le deuxième et le troisième prix étaient respectivement de 500 000 ariary et 300 000 ariary. Des prix ont également été remis aux participantes du programme « Miatrika » du projet PIC et à 60 femmes ayant suivi une formation en broderie.
Formation des inspecteurs en sureté de l'aviation civile.
La protection des passagers, des membres d'équipage, des infrastructures et des aéronefs est un enjeu crucial pour la stabilité et la croissance du secteur aérien mondial. Dans ce contexte, une formation dédiée aux inspecteurs nationaux en sûreté de l’aviation civile a été organisée pour renforcer leurs compétences. La session se déroulera du 19 au 29 novembre à Ivato. La structure de la formation a été soigneusement pensée pour répondre aux exigences du secteur aérien, qui repose sur des normes strictes élaborées par l'OACI. Ces normes garantissent une sécurité optimale dans un environnement de plus en plus complexe. Sous la direction de Moussa Ndiaye, Nicolas Ntamack et Barnabé Metohoue, experts de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), ce programme vise à offrir aux participants une perspective approfondie des enjeux actuels de la sûreté aérienne. Les inspecteurs en sûreté sont responsables de l’application rigoureuse des normes du Programme national de sûreté de l’aviation civile (PNSAC) incluant le contrôle des passagers, le contrôle du fret aérien, la gestion des risques et la surveillance des systèmes de sûreté dans les aéroports et au sein des compagnies aériennes, tant au sol qu'en vol.
« Miami Toamasina » en quête de son directeur général.
La société en charge de la préservation du patrimoine et à la gestion des infrastructures du Miami Toamasina, est actuellement à la recherche de son directeur général. Ce poste clé est essentiel pour assurer le bon fonctionnement et le développement stratégique du site. Le futur directeur général aura pour principales responsabilités de diriger les opérations incluant la supervision quotidienne des activités de la société. Il devra aussi mettre en œuvre le développement du site visant à améliorer les services et à accroître l'attractivité des lieux. Cette recherche de candidat s'inscrit dans le cadre de l'opérationnalisation immédiate de la société d'exploitation, de gestion et de maintenance Miami S.A. Pour être retenu, le candidat devra répondre à plusieurs critères dont la connaissance approfondie des enjeux urbains et touristiques, des expériences antérieures dans la gestion de biens immobiliers seront valorisées. Le candidat devra démontrer des capacités à gérer des aspects commerciaux de l'organisation. Une expérience en élaboration de stratégies à long terme sera également requise. Miami Toamasina est devenu un lieu incontournable pour les habitants de Toamasina. En plus de servir de point de rencontre pour les Tamataviens, le site a également contribué à booster l'affluence des touristes nationaux. Cette dynamique est essentielle pour le développement économique local et la promotion du tourisme dans la Région.
