Publié dans Politique

Déclaration des partis et élus pro – Rajoelina - Non à la déstabilisation

Publié le mercredi, 08 janvier 2025
 Il faut protéger la démocratie contre les manipulations de l’Opposition   Il faut protéger la démocratie contre les manipulations de l’Opposition 

Dans une déclaration conjointe hier, les partis politiques, les sénateurs et les députés soutenant le Président Andry Rajoelina réaffirment leur engagement à maintenir la stabilité dans le pays. Ces groupes politiques dénoncent fermement toute forme de perturbation et s'engagent à soutenir les efforts continus du Président dans sa quête de solutions aux problèmes sociaux pressants auxquels Madagascar fait face. Concernant les élections, il a été ainsi annoncé que les plaintes et les accusations de vol sont monnaie courante à chaque scrutin, pourtant l’Opposition ne présente pas des preuves solides et concrètes mais se base seulement sur d’effets d’annonce et de coup de communication sur les réseaux sociaux. De ce fait, fragiles, leurs doléances sont souvent déboutées. Lalatiana Rakotondrazafy, présidente du parti Freedom, a également mis en lumière les manœuvres jugées frauduleuses de l'Opposition, affirmant que plusieurs candidats de leur mouvement avaient été victimes de ces agissements. Elle a ensuite souligné que la candidate Harilala Ramanantsoa, par ses réalisations concrètes, mérite une victoire légitime à Antananarivo, arguant que les adversaires n'ont pas su présenter de programmes sérieux ni d'unité. « La victoire de la candidate de l’IRMAR à Tanà est une évidence au vu du manque de programme sérieux de ses adversaires et de la dissension et l’éclatement plus que consommé de l’Opposition. Le peuple a parlé en sanctionnant cette dernière avec seulement 38 maires pour le TIM ‘‘dans tout le pays’’ », souligne-t-elle. La question se pose donc : « Le peuple malagasy devrait-il encore subir les effets néfastes d’une crise provoquée par une minorité, dans le seul but de s'accaparer du pouvoir illégalement ? ». Cette interrogation, soulevée lors de la déclaration, souligne la volonté de protéger la démocratie contre les manipulations. Le groupe politique, accompagné des sénateurs et députés d'IRMAR, appelle également les Forces de sécurité à intervenir pour prévenir toute tentative de perturbation orchestrée par certains individus politiques. Ils insistent sur le fait que c'est dans un climat de calme et de sérénité que le pays pourra avancer et relever les défis qui l'attendent.
Nikki Razaf

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Editorial

  • Date maudite !
    Treize mai, date à effacer ! Ce samedi, jour pas comme tous les autres samedis, 13 mai 1972, date où les mouvements de grève des étudiants grossis par tous les élèves de la Capitale, prenaient une allure radicale, point de non retour, sur l’Avenue de l’Indépendance, devant l’Hôtel de Ville, baptisée désormais Place du Treize mai. Il y a cinquante-trois ans en ce jour du 13 mai 2025, les Forces républicaines de sécurité (FRS) chargeaient à balles réelles les manifestants à Analakely devant l’ancien Hôtel de Ville. Le sang a coulé ! Il y a eu des morts et des morts ! Les choses allaient se précipiter. Pris de panique sinon aux abois, feu Président de la République Philibert Tsiranana enchaînait des décisions qui aboutirent, au final, à la chute du régime PSD. Le Général de Division Gabriel Ramanantsoa, Chef d’ Etat-major de l’Armée prit les rênes du pouvoir suite…

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