Publié dans Politique

Naina Andriantsitohaina - L’homme qu’il faut à la Mairie de Tana

Publié le vendredi, 22 novembre 2019

La campagne électorale pour les élections communales et municipales touche à sa fin. Les candidats jettent leurs dernières forces dans la bataille. Ces prochaines heures, les candidats vont effectuer leur « faradoboka ». La campagne électorale s’achèvera officiellement ce lundi à minuit, avant une période de silence électorale mardi, le jour précédant le scrutin. A observer de près l’allure de cette campagne électorale et pour le cas de la Capitale de Madagascar, il en ressort un constat indubitable que le poulain de l’Isika rehetra miaraka amin’i Andry Rajoelina, Naina Andriantsitohaina, sort du lot.  Premièrement, il a les soutiens. Pour un maire non issu du monde politique, il est parvenu à adhérer autour de lui une pléiade de personnalités de divers horizons et de mouvements associatifs. Il bénéficie du soutien général de la classe politique et de la classe économique.
En second lieu, il a le projet. Le programme du candidat Naina dispose de grandes ambitions réalisables. Le candidat numéro 4 ne promet pas l’impossible et s’est engagé à traduire en actes, au moment opportun, son « Veliranon’Iarivo », un plan détaillé et pratique. Un programme qui contient notamment les solutions aux problèmes de la vie des habitants de la Capitale notamment l’amélioration et la promotion du bien-être de la population.

Des solutions aux domaines de la santé, l’éducation, la propreté, la mobilité urbaine, la sécurité, les marchés sont contenus dans ce pacte du candidat avec les Tananariviens.  En troisième lieu, Naina Andriantsitohaina a les compétences pour occuper le fauteuil de premier magistrat de la Ville des Mille avec son expérience professionnelle dans le privé. Il fut durant de longues années le président du Groupement des entreprises de Madagascar et le Syndicat des industries de Madagascar. Ecouté et apprécié dans ce milieu, Naina Andriantsitohaina peut compter sur l’appui des opérateurs économiques dans la réalisation de ses projets pour redonner à la ville d’Antananarivo son lustre d’antan. Président du conseil d’administration d’une banque de renommée internationale, le candidat N°4 à la Mairie d’Antananarivo  prône d’ailleurs l’esprit participatif du secteur privé. Ce dernier, lors de leur rencontre, lui a déjà annoncé son adhésion à ce concept. Un avantage non négligeable qu’aucun des candidats en lice n’en possède.
Les débats successifs organisés par différentes entités dans le cadre de la campagne électorale ont permis au porte-fanion des Orange d’émerger du lot. Candidat posé, maîtrisant ses dossiers sur le bout des doigts, Naina Andriantsitohaina a su marquer le public par sa prestance. Naina Andriantsitohaina a montré qu’il a la carrure, la stature et le charisme pour devenir maire de la Capitale de Madagascar. L’ancien ministre des Affaires étrangères est resté dans son couloir, se gardant de lancer des attaques stériles à ses adversaires. Les débats et la campagne, en général, ont démontré que Naina Andriantsitohaina serait le maire idéal pour Antananarivo.
Le capitaine d’industrie qu’il est, est animé d’une conviction profonde et d’une volonté intacte de porter secours à une ville délabrée. Beaucoup ne voient, parmi les quatre autres prétendants alignés dans les starting-blocks pour la course à la Mairie d’Antananarivo, aucun  susceptible d’offrir une alternative sérieuse aux tananariviens.
La Rédaction

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Editorial

  • Code de la … rue !
    Nos confrères et consœurs qui font et refont le tour de la ville afin de glaner des informations vraies et en direct ont fait de l’amer constat : il n’y a plus de loi à Antananarivo, pas de code d’hygiène, pas de code la route. Il n’y a que la loi de la rue qui tient ! La population vit sous la loi des barrages. En effet, les barrages font la loi partout ! Des barrages érigés par les Forces de l’ordre afin de limiter strictement l’accès sur certains sites jugés hautement sensibles, interdits au public comme celui de la Place de l’indépendance populairement nommé « Place du 13 mai ». L’objectif évident étant pour les FDS de garantir au mieux l’ordre public et pour les tenants du régime en place de s’assurer le maximum de sureté pour la stabilité. Pour leur part, les grévistes et les manifestants de rue…

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