Des solutions aux domaines de la santé, l’éducation, la propreté, la mobilité urbaine, la sécurité, les marchés sont contenus dans ce pacte du candidat avec les Tananariviens. En troisième lieu, Naina Andriantsitohaina a les compétences pour occuper le fauteuil de premier magistrat de la Ville des Mille avec son expérience professionnelle dans le privé. Il fut durant de longues années le président du Groupement des entreprises de Madagascar et le Syndicat des industries de Madagascar. Ecouté et apprécié dans ce milieu, Naina Andriantsitohaina peut compter sur l’appui des opérateurs économiques dans la réalisation de ses projets pour redonner à la ville d’Antananarivo son lustre d’antan. Président du conseil d’administration d’une banque de renommée internationale, le candidat N°4 à la Mairie d’Antananarivo prône d’ailleurs l’esprit participatif du secteur privé. Ce dernier, lors de leur rencontre, lui a déjà annoncé son adhésion à ce concept. Un avantage non négligeable qu’aucun des candidats en lice n’en possède.
Les débats successifs organisés par différentes entités dans le cadre de la campagne électorale ont permis au porte-fanion des Orange d’émerger du lot. Candidat posé, maîtrisant ses dossiers sur le bout des doigts, Naina Andriantsitohaina a su marquer le public par sa prestance. Naina Andriantsitohaina a montré qu’il a la carrure, la stature et le charisme pour devenir maire de la Capitale de Madagascar. L’ancien ministre des Affaires étrangères est resté dans son couloir, se gardant de lancer des attaques stériles à ses adversaires. Les débats et la campagne, en général, ont démontré que Naina Andriantsitohaina serait le maire idéal pour Antananarivo.
Le capitaine d’industrie qu’il est, est animé d’une conviction profonde et d’une volonté intacte de porter secours à une ville délabrée. Beaucoup ne voient, parmi les quatre autres prétendants alignés dans les starting-blocks pour la course à la Mairie d’Antananarivo, aucun susceptible d’offrir une alternative sérieuse aux tananariviens.
La Rédaction