Société

Beaucoup de gens sont loin d’être conscients du danger lié à la propagation extravagante du coronavirus dans le pays. L’Etat autant que différentes institutions ont fait des efforts afin de maîtriser dans le plus bref délai cette pandémie, mais l’entêtement de certaines personnes ne fait qu’empirer la situation. Hier, un camion transportant des marchandises a été intercepté par la Police nationale du côté d’Imerintsiatosika. Ayant voulu de rejoindre la Capitale, 12 passagers clandestins se sont cachés entre les marchandises. Le conducteur ainsi que les passagers ont été embarqués au poste de police pour une audition, tandis que le camion a…
Issus à la fois du secteur formel et informel. Environ 100 000 employés du secteur privé sont actuellement au chômage technique partiel depuis la pandémie de COVID 19. Ce dernier statistique émanant du Groupement des entreprises de Madagascar (GEM) en dit long sur les impacts socioéconomiques de la pandémie. Ces travailleurs en difficulté sont issus de centaines d’entreprises, notamment les PME et le secteur informel. Toky R., barman auprès d’un restaurant renommé en centre-ville, fait partie de ces travailleurs devenus chômeurs. « Ma femme, cuisinière dans un restaurant affilié au mien, et moi sommes tous les 2 sans- emploi depuis…
Les citoyens à l’affut de l’actualité s’inquiètent dernièrement à propos du nombre de guérisons qui semble au ralenti. L’efficacité de nos deux protocoles de traitement a été remise en cause maintes fois. Heureusement, cette crainte s’est récemment dissipée en voyant les chiffres publiés officiellement sur les nouveaux cas de guérison. Un changement qui a été constaté depuis la semaine dernière. Ainsi, au cours des dernières 24 heures, le nombre de patients guéris du coronavirus a augmenté considérablement pour Madagascar. Le Centre de commandement opérationnel - Covid-19 (CCO) a comptabilisé 41 nouveaux cas de guérison dont 39 personnes testées positives ayant…
Aucune date divulguée. La ministre par intérim auprès du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement technique et professionnel (MENETP), Léa Béatrice Assoumacou, ne s'est pas prononcée quant à la tenue des examens officiels pour cette année scolaire. « Puisque je viens d'être nommée provisoirement à ce poste, je vais prochainement réunir les techniciens pour en parler. Il en est de même pour les autres sujets à débattre auprès du ministère », a-t-elle répondu à la presse, à l'issue de la passation de service, hier à Anosy.
La scène qui s’est produite, en milieu de matinée, près d’un rond-point situé à la hauteur de la station Jovena aux 67Ha, a été particulièrement poignante. Il s’agissait d’une action de la Police en vue d’arrêter deux suspects âgés de 24 et de 47 ans. Ces derniers faisaient partie des quatre larrons que cette force a repérés en train de rôder dans le secteur sur deux scooters. Selon la Brigade criminelle (BC4) ayant mené l’action, les suspects auraient essayé de commettre une attaque quelque part.
L'Etat d'urgence sanitaire décrété par le Gouvernement et qui s'applique sur le tout territoire a mis à l'arrêt les opérations menées au niveau des 6 bureaux du Centre immatriculateur de Madagascar (CIM). En vue de l'évolution de la crise sanitaire causée par le Covid-19, le ministère de l'Intérieur et de la Décentralisation (MID) a décidé de procéder progressivement à leur réouverture, à l'exception du CIM à Toamasina. Cette reprise s'effectue en service minimum, de 8.30 à 11.30, et ce à partir de demain avec un maximum de 50 usagers par jour et suivant les gestes de barrières sanitaires.
« Il vaut mieux ne pas voir ! ». Ce propos d’une femme, témoin au terrible accident de la circulation survenu vers le début de l’après-midi samedi dernier à Avaradoha, résume l’horreur qui s’offrait aux yeux de plusieurs témoins. Deux piétons, dont une mère de famille et un petit garçon de 5 ans, ont été renversés par un camion venant d’Ampasampito et transportant du ciment, au moment où ils ont voulu traverser la voie, qui descend près d’une station-service. C’est le petit qui a payé le plus lourd tribut à ce drame. Non seulement, il n’a pas été uniquement renversé,…

Fil infos

  • Parlement - Clap de fin pour le Sénat
  • Face-à-face entre un fourgon et un camion - Un survivant dans un état critique
  • PLFI 2026 - Un budget insuffisant et opaque selon le Collectif des citoyens
  • Famille Ravatomanga - Domicile et bureau « visités » à une heure du matin…
  • Fausses et illégales perquisitions - Des auteurs toujours en circulation
  • Groupe Sodiat - Tous les comptes bancaires de ses sociétés bloqués ! 
  • Coopération bilatérale - D’Antananarivo au Grand Sud, Paris lance des projets inclusifs à Madagascar
  • APMF - Le personnel lance un ultimatum
  • Assises des partis politiques - Une transition de trois ans et un partage de sièges
  • Antananarivo sous les eaux - L’héritage de nos choix collectifs

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff