Société

Alors que l'opinion a cru que la page a été tournée en matière de kidnapping d'hommes d'affaires indo-pakistanais, les faits survenus hier l'ont vite fait déchanter. Vers 9h du matin, Navaze Veldjee (47 ans), et non moins propriétaire de l'entreprise VELOPTIC, a été enlevé à Soavimbahoaka. L'acte s'est déroulé non loin de la maison de la victime. Cette dernière venait juste de quitter son foyer lorsque les bandits étaient subitement entrés en action. D'après une information, quatre ravisseurs ayant opéré à visages découverts mais équipés d'armes à feu, ont perpétré l'acte. Ils l'ont rapidement obligé à monter dans un véhicule…
Friandises, jouets, articles d'habillement, volailles ou encore sapin de Noël et décorations sont inséparables avec la fête de la Nativité et de fin d'année. Depuis le début de ce mois, les commerçants se sont concentrés sur la fête autant que les clients. Concernant le sapin de Noël, toute la famille peut en avoir selon sa préférence et son budget. A Analakely par exemple, le prix du sapin varie entre 15 000 à 200 000 ariary selon sa qualité et sa dimension. Les articles de décoration comme les guirlandes, lampes, boules présentent également de multiples choix.
L’Organisme non gouvernemental CARE International à Madagascar et la Plateforme humanitaire du secteur privé (PSHP) ont officialisé leur partenariat en procédant à la signature d’une convention cadre dans la zone Galaxy, Andraharo. Ensemble, les deux entités œuvreront à sauver des vies à travers des actions humanitaires communes.
Retour à la normale. Après les affrontements entre les étudiants de la faculté de DEGS et ceux de la faculté des Sciences mardi dernier à l’université de Fianarantsoa ayant conduit à l’arrêt des cours, la réunion du conseil d’administration a décidé, suivant l’arrêté n° 213/2019/UF/PR du 12 décembre 2016, la reprise de toutes activités au sein du campus à partir de ce jour. « Nous avons constaté que la situation s’est calmée et une stabilité est aperçue qu’il est temps de reprendre l’enseignement », souligne un communiqué. Le conseil a également fait savoir que l’université d’Andrainjato respecte et préserve la…
Conflits réglés. Des contenus du nouveau code de prévoyance sociale (CPS), déjà élaboré depuis quelques temps, ont entraîné des mésententes entre le groupement du patronat et celui des travailleurs ainsi que les autorités et les partenaires. Mais ce problème est désormais résolu, à en croire Christian Ntsay, Premier ministre malagasy. « Après la résolution des problèmes, nous allons maintenant avancer et discuter prochainement de la nouvelle loi régissant la protection sociale en Conseil des ministres », avance le chef du Gouvernement.
Santé reproductive. L’hygiène menstruelle constitue l’un des sujets tabous au niveau de la société malagasy, notamment en famille et auprès des établissements scolaires. C’est ainsi que la Fédération pour la promotion féminine et enfantine (FPFE) y concentre ses activités. « Nous œuvrons particulièrement pour la conscientisation de la société, à commencer par les parents ainsi que les écoles que l’hygiène menstruelle est un sujet banal méritant d’être discuté. Des interventions ayant pour but de les faire réagir, notamment en disposant des espaces pour les jeunes filles ou en encore en réaménageant des toilettes pour les filles, sont menées », martèle…
L'affaire Ambohimahamasina a été jugée à la Cour criminelle ordinaire du Pôle anti-corruption des 67Ha, hier. Devant la barre, les trois personnes principalement incriminées pour faux et usage de faux, abus de fonction, détournement de deniers publics et complicité. Le préjudice s'élève à plus de 396 millions d'ariary. A la fin d'un débat assez houleux, le verdict du juge tombe : Claudine Razaimamonjy, la bouillonnante ex-conseillère spéciale de l'ancien Chef de l'Etat du parti HVM, écope d'une peine de 10 années de travaux forcés. De son côté, l'ancien maire de la Commune rurale d'Ambohimahamasina, Tsabo Pierre, est condamné à 6…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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