Publié dans Société

La STAR en visite à l’hôpital de Tsaralalàna - Les collaboratrices au chevet des mères et enfants

Publié le mardi, 09 mars 2021

« Donner, c’est implanter les racines du partage ». Les collaboratrices au sein de la STAR ont concrétisé cet esprit pour marquer la célébration du 8 mars. Ainsi, les femmes dudit groupe, représentées par un petit comité issu de différentes Directions, ont offert des kits de naissance Eau Vive pour les mères ainsi que les bébés de moins de six mois reçevant des soins au Centre hospitalier universitaire mère-enfant de Tsaralalàna (CHUMET). La remise officielle des dons s’est tenue lundi dernier en présence du directeur de l’établissement. D’après les donatrices, avoir un accès aux soins est un droit fondamental pour tous. De plus, toutes les mères ont le droit d’accoucher dans la dignité et de bénéficier des soins adéquats.
Outre les kits de naissance, la remise mensuelle des packs d’eau pour faciliter la prise en charge des jeunes patients a également été effectuée à l’occasion. Des cache-bouches et une solution hydroalcoolique ont aussi été mis à disposition du CHUMET pour soutenir la lutte contre le coronavirus, encore d’actualité. A travers cette action de solidarité de ses collaboratrices, la STAR réitère son engagement social à l’amélioration de la santé mère-enfant.
Recueillis par Patricia R.


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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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