Publié dans Société

Marché d'Anosibe - « Pour un marché propre et organisé », selon le maire de la Capitale

Publié le jeudi, 25 mars 2021

 La Commune urbaine d'Antananarivo se concentre actuellement sur l'assainissement des endroits publics et la lutte contre la peste. Plusieurs actions sont déjà entamées depuis la semaine dernière pour ne citer que la désinfection et le nettoyage du marché de « Petite vitesse ». Ce jour, elle a procédé au nettoyage et curage des canaux d'évacuation d'eaux au marché d'Anosibe.

 

Une cinquantaine d'agents sont déployés, chaque jour pour exécuter les tâches. Selon le Premier magistrat de la ville, Naina Andriantsitohaina, ces agents travaillent pendant 10 jours pour curer les 500 bouches d'égout que dispose ce marché. Toutefois, presque la majorité de ces dalles seront remplacées puisqu'elles ne fonctionnent plus. La Société municipale d'hygiène assure le transport des ordures vers la décharge.

Un marché propre et organisé figure parmi les priorités du maire de la ville. C'est d'ailleurs le reflet de l'image de la Capitale, puisqu'avant tout, le marché comme celui d'Anosibe est un endroit où toutes sortes de personnes s'y rencontrent chaque jour.

Cette initiative est le fruit d'une collaboration entre la CUA et l'association des commerçants au marché d'Anosibe. Avec les odeurs nauséabondes et l'insalubrité qu'ils font face, ainsi que la destruction de l'infrastructure, ces derniers ont sollicité l'aide de la CUA pour une opération de nettoyage. La demande concerne le curage des canaux d'évacuation d'eaux ainsi que la réparation de quelques dalles. Une vision qui coïncide avec le Veliranon 'Iarivo.

Anatra R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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