Publié dans Société

Viol en réunion d’une jeune fille - 5 jeunes derrière les barreaux

Publié le lundi, 27 septembre 2021

On peut dire que l’affaire suivante relève également de la cybercriminalité car tout a démarré sur les réseaux sociaux. Il s’agit de celle concernant le viol en réunion d’une jeune fille de 15 ans, de la Capitale, qui a conduit finalement cinq jeunes hommes âgés entre 16 et 17 ans en prison, du moins à titre provisoire à Antanimora. Les faits.

 

Tout a démarré par un flirt entre deux amis sur Facebook, la jeune fille en cause et un jeune homme de 17 ans. Séduite par les propos doux de son ami sur les réseaux sociaux, la fille a fini par mordre à l’hameçon. Elle a accepté la demande de son ami de la rencontrer. En fait de rencontre, il vaut mieux parler de relations sexuelles et ce, pour dissiper également tout malentendu. D’après une source policière, la jeune fille n’était alors rentrée au foyer qu’après trois jours. Et là, elle paraissait très épuisée, sans parler du fait qu’elle a perdu son téléphone. Méfiants, ses parents, pour en avoir le cœur net, décident alors d’emmener la jeune fille chez le médecin. C’était dans ces circonstances que le pot aux roses était découvert : la concernée a subi des agressions sexuelles.

Pour la Police, aucun doute n’était alors plus permis. La victime s’était fait piéger par son ami du Facebook. Et que ce dernier l’avait simplement entraînée dans une maison close qui sert à la fois de bar et de fumerie, et où les autres garçons l’avaient également attendue pour abuser d’elle. D’ailleurs, lorsque les Forces de l’ordre s’étaient rendues sur les lieux, elles y ont encore surpris les quatre autres jeunes hommes impliqués dans le viol en réunion de la jeune fille. Les premiers ont été arrêtés sur le champ.

Les investigations de la Police lui a également permis de savoir que les jeunes suspects possèdent un groupe sur Facebook. Ils s’en servent dans le but d’attirer des filles dans le même piège. Ce n’est pas la première fois que des individus à l’intention malveillante notamment dans le domaine de la relation entre les deux sexes. Si certains croupissent déjà en prison après que les autorités les ont démasqués, d’autres, au mépris de la loi, continuent toujours à sévir, notamment chez les jeunes. La Police ne cesse d’attirer l’attention des parents pour qu’ils se penchent davantage sur ce que font leurs progénitures.

Franck R.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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