« Les contrats en question figurent dans la dernière vague de recrutement de 1 075 enseignants de collège et de lycée, l'année dernière. Ils ne proviennent pas du ministère mais ont été falsifiés », informe notre source auprès dudit département ministériel. Le MEN a ainsi opté pour la rupture de ces faux contrats, y compris la suspension d'octroi d'immatriculation pour les enseignants concernés, dont le traitement des dossiers est en cours. La suspension des soldes pour les enseignants contractuels déjà immatriculés a également été décidée. En parallèle, des enquêtes internes sont actuellement menées afin d'identifier les personnes impliquées dans cette affaire. A cela d'ajoute le dépôt de plainte pour corruption, faux et usage de faux. Une plainte pour cybercriminalité a aussi été déposée auprès du Pôle anti-corruption du premier degré d'Antananarivo. Affaire à suivre !
P.R.