Publié dans Société

Ecole primaire publique Andrefan’Ambohijanahary - Des meilleurs résultats grâce à la qualité des infrastructures

Publié le mercredi, 09 novembre 2022

Parmi les 4 établissements de la ville d’Antananarivo accompagnés par le groupe Filatex. L’Ecole primaire publique (EPP) d’Andrefan’Ambohijanahary étant la meilleure de la Capitale, voire de Madagascar, notamment en termes d’infrastructures, d’après le maire de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), Naina Andriantsitohaina. Construit en 1911, cet établissement, considéré comme une institution, a été rénové par ledit groupe en 2017. Des travaux conséquents y ont été effectués, impactant positivement sur la scolarisation et le quotidien des centaines d’élèves. « La qualité des infrastructures impacte sur les résultats scolaires.

Les écoliers font des efforts pour mériter les infrastructures. Ils sont plus assidus, ce qui explique le faible taux d’absence depuis la rentrée scolaire. De plus, le taux de réussite aux examens de passage et celui officiel s’avère satisfaisant. Sur 80 élèves candidats au CEPE par exemple, seuls 2 à 3 échouent », expose Olga Doris Ranandromiarisoa, directrice de ladite EPP. La preuve, le lauréat du CEPE dans la ville d’Antananarivo lors la précédente année scolaire était inscrit auprès de cet établissement.

Nouvelles réhabilitations

Renforcement de la rénovation. L’EPP d’Andrefan’Ambohijanahary fait de nouveau peau neuve, après les nouvelles réhabilitations effectuées cette année. Outre la remise en état des espaces verts et la réfection du terrain de basket, des travaux de réhabilitation de la cuisine au sein de la cantine scolaire ont également été entrepris. A cela s’ajoute la pose de fresques artistiques et ludiques sur les murs intérieurs et extérieurs du bâtiment principal. Réalisées par des artistes de renom, ces fresques pédagogiques sont mises en place afin d’ouvrir une dimension sur la création, la beauté et l’art. Elles contribuent également au développement du savoir des élèves ainsi qu’à l’embellissement et la modernisation du quartier, voire de la ville. Toutes ces activités ont pu se faire dans le cadre de la politique RSE de Filatex, d’après Hasnaine Yavarhoussen, Directeur général du groupe.

Par ailleurs, le groupe prévoit un programme de formation en langue française appliquée aux enseignants du primaire et aux directeurs d’établissement. Un programme d’initiation aux arts plastiques est aussi prévu cette année. Ces nouveaux programmes s’ajoutent à celui destiné aux élèves méritants. En fait, 20 majors issus des 4 EPP soutenues bénéficient chacun d’une bourse d’étude dont le lauréat du CEPE de la Capitale.

 

Patricia Ramavonirina

Fil infos

  • Animaux sauvages confisqués en Thaïlande - Rapatriement effectif cette semaine
  • Municipales à Antananarivo - La Diaspora solidaire avec les électeurs
  • Marc Ravalomanana - Insolent un jour, insolent toujours
  • ACTU-BREVES
  • Opposition - Le torchon brûle entre les ex-leaders du « hetsika fotsy »
  • ACTU-BREVES
  • Projet « Lac Iarivo » - Un village touristique et un village artisanal ouverts en août 2025
  • Pour l’acheminement du groupe de 105 MW à Antananarivo - Le Premier ministre en mission à Toamasina
  • Incendie - 231 maisons réduites en cendres à Nosy Varika
  • ACTU-BREVES

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Souci national
    L’équipe nationale de football, les Barea, touche le fond. Soit ! Un fait, une réalité que personne ne contredit point. Pas besoin d’une longue démonstration par A + B pour le constater. Il suffit de voir, d’écouter et de lire pour s’en rendre compte. Situation catastrophique qui défraie la chronique. En fait, notre Onze national devient un problème national, une honte nationale. Bref, un souci national que même les moins fervents au ballon rond en parlent.Le dernier match des Barea contre nos voisins les Cœlacanthes au cours duquel l’équipe nationale concéda la plus lourde des défaites avec un à zéro balaie définitivement nos espoirs. Un échec qui confirme le classement de la CAF comme quoi Madagasikara se trouve derrière les Comores. La « Grande terre », le dernier de la classe, est l’ombre d’elle-même !Le sport, la grande fenêtre qui ouvre un pays vers le monde extérieur, un tremplin qui…

A bout portant

AutoDiff