Publié dans Société

Série d'accidents mortels en ville - Deux personnes perdent la vie

Publié le vendredi, 07 juillet 2023

En l'espace de quelques heures seulement, deux personnes ont succombé à la suite d'une série d'accidents qui a endeuillé la Capitale et sa banlieue. A commencer par les plus récents enregistrés au cours de la journée d'hier. A Analamahitsy, un chef de famille d'une cinquantaine d'années a trouvé la mort après qu'il s'est fait renverser ou plutôt passer accidentellement sous un taxi-be de la ligne 183 en marche. D'après plusieurs sources concordantes, le piéton aurait eu subitement un malaise, qui a provoqué sa chute accidentelle. Manque de pot pour lui, ce taxi-be est passé à sa hauteur juste au moment où il allait s'effondrer au sol, rendant ainsi le choc inévitable.

Des témoins affirment que la victime a perdu uniquement connaissance après le violent choc. Mais il a donc fini par rendre l'âme après son transport à l'hôpital. D'autres sources ont déclaré que le malheureux aurait été tué sur le coup. Sa dépouille a été transportée à la morgue de l'HJRA Ampefiloha où ses proches s'y étaient déjà rendus, hier même.

D'après nos informations, le chauffeur du taxi-be en cause a été placé en garde à vue dans les locaux de la brigade des accidents (BAC) à Tsaralàlàna, depuis. Il devra être déféré vers le début de la semaine prochaine, sauf imprévu. "Pour l'heure, nous avions été informés d'une chute accidentelle de la victime", confie une source auprès de la BAC Tsaralalàna.

L'autre accident qui a coûté la vie à un motocycliste de 30 ans et domicilié à Mahabo Andoharanofotsy, est survenu vers 20h à Tanjombato, près de l'ex-Magasin M. Sur les lieux, un véhicule tout-terrain dont des témoins auraient affirmé avoir pu noter l'immatriculation, se serait immédiatement enfui après l'accident, laissant ainsi la victime sur son sort. D'après une source auprês de la famille, le malheureux a rendu l'âme quelques moments après la collision. Un grave hématome observé au niveau de son thorax, entre autres blessures, lui a été alors fatal. Bien que la Police n’ait encore rien dit pour essayer de savoir si le conducteur fugitif en cause a été retrouvé ou non, la famille du défunt motocycliste exhorte l'automobiliste en cause à entrer en contact avec elle, histoire d'éviter une éventuelle complication de l'affaire.

Enfin, un taxi-be de la ligne 138 est entré en collision avec une voiture particulière à Anosizato, hier matin. Il y eut des blessés, et les dégâts étaient importants, selon des témoins oculaires. Par contre, l'on n'a déploré aucun mort d'homme, contrairement donc aux deux cas cités plus haut.

 

Franck R.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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