Publié dans Société

Collision frontale - Un scootériste meurt tragiquement

Publié le mercredi, 19 juillet 2023

Mardi dernier, une moto scooter qui venait de Manjakandriana était entrée en collision avec un fourgon Mercedes-Benz Sprinter roulant en sens inverse, causant ainsi la mort du motocycliste, un homme d'une trentaine d'années. 

Cela s'est produit vers 15h à Ambohimangakely, sur la RN2. Sitôt après la collision, le motocycliste, présentant une blessure au niveau du front, était dans le coma avec le pronostic vital engagé. On l'avait transporté d'urgence, d'abord à l'hôpital "manarapenitra" d'Ambohimangakely avant qu'on ne le transfère à l'HJRA Ampefiloha où il a finalement succombé, malgré les tentatives des médecins pour le sauver. De son côté, le chauffeur du fourgon a dû être auditionné par la Gendarmerie. Pour leur part, des membres de la famille que nous avons pu rencontrer, hier, ont affirmé ne rien savoir ce qui était arrivé. 

Pour le moment, la cause de l'accident n'a pas été encore clarifiée. Sauf que des témoins, ayant assisté à la scène, ont affirmé que le scooter aurait été passablement alcoolisé. A preuve, le deux-roues faisait des dangereux zigzags. Son pilote perdait le contrôle de la moto et ne savait plus s'il se trouvait sur la bonne voie ou non. En effet, ces témoins ont avancé que son état était tel qu'il s'est alors frayé un passage dans un sens unique où il était tombé subitement en face du Sprinter. De toute façon, le chauffeur n'a dû pas penser une seconde que ce scooter allait se mettre subitement sur cette voie unique, rendant ainsi le choc inévitable.

Hier après-midi, les proches de la victime sont venus à la morgue d'Ampefiloha y récupérer sa dépouille. L'enquête suit son cours.

 

Franck R.

Fil infos

  • Employés du Groupe Sodiat - « Laissez-nous travailler ! »
  • Immunité - La société civile dénonce la protection accordée aux inspecteurs des impôts et des douanes
  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff