Publié dans Société

Développement urbain - Des équipements pour quatre Communes

Publié le lundi, 31 juillet 2023

Trois camions, 55 équipements de communication, 755 matériels de pré-collecte et 100 charrettes. Tels sont les matériels et équipements remis par le « Projet de développement urbain intégré et de résilience » (PRODUIR) pour ces Communes d'intervention. Il s'agit de la Commune urbaine d'Antananarivo, celle de Bemasoandro, celle d'Andranonahoatra et celle d'Anosizato-Andrefana. Les « Rafitra Fikojana ny Rano sy ny Fahadiovana » (RF2) de ces Communes ne sont pas en reste. Ces dons servent d'appui pour la restructuration et l'amélioration des quartiers, surtout pour l'entretien des travaux réalisés dans le cadre de la première phase des travaux urbains.

Ces derniers se composent de ruelles, voies carrossables, escaliers, passerelles en béton armé, ainsi que des infrastructures communautaires comme des bibliothèques, terrains de basket, murs de soutènement et infrastructures sanitaires, notamment des lavoirs et des bornes-fontaines. Le défi actuel étant de les entretenir et d'enchaîner les campagnes de sensibilisation autour de la citoyenneté. Le respect des biens communs est essentiel pour que les infrastructures soient pérennes, selon le ministère de l'Aménagement du territoire et des Services fonciers (MATSF), le PRODUIR et les Communes impliquées.

Ces dons permettront également un renforcement des capacités et des réformes sectorielles pour l'assainissement, pour l'appui à la pré-collecte des déchets et pour la sensibilisation sur l'hygiène et l'assainissement de la population d'Antananarivo. La remise de ces matériels et équipements s'est tenue hier au siège du projet sis à Manakambahiny, en présence du ministre Holder Ramaholimasy, du coordonnateur du projet en la personne de Haja Rasolofojaona ainsi que des maires des Communes concernées. 

 

Recueillis par P.R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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