Publié dans Société

Assassinat d'un Malagasy à Lyon - Des personnes en cagoule pointées du doigt

Publié le mardi, 17 octobre 2023

La mort par défenestration de Jules Botovelona Nethson, ce Malagasy résidant à Lyon (France), dimanche dernier, connait un rebondissement. Notons d'abord que son corps avait été retrouvé au bas d'un immeuble du 8ème Arrondissement de Lyon. D’après les renseignements révélés par une source policière, et qui a relayé l'information d'un journal lyonnais, le quadragénaire a été défenestré du haut du troisième étage. C'est que le malheureux a assisté à une fête d’anniversaire. A un moment donné, des hurlements d'effroi des membres de l'entourage de la victime ont alerté les voisins. Du coup, les secours ont été dépêchés sur place. Malheureusement, leur tentative de réanimer le Malagasy était vaine.

De son côté, le Parquet de Lyon a ouvert une enquête. Il est aidé par la Police judiciaire, chargée des investigations, pour déterminer la cause de cette terrible chute. A propos, l’enquête tente de percer s’il s'agissait d'une chute accidentelle ou pas. Or, plusieurs sources convergentes dont la presse lyonnaise ont avancé que des inconnus dont les traits étaient dissimulés par des cagoules ont débarqué dans l’appartement. Et que ces derniers ont menacé les individus présents dans le domicile. Toutefois, on ignore tout à propos de leur mobile, du moins jusque-là.

Naturellement, les enquêteurs lyonnais continuent les recherches pour tenter de retrouver ces individus encagoulés. Malgré ces informations tirées au compte-gouttes, des sources veulent obtenir la confirmation qu’il s'agissait d’un règlement de compte. En effet, il s’avère que les proches de la victime restées dans la Grande île, dans une récente déclaration sur Facebook, ont avancé que le chef de famille a été la cible d'un règlement de compte. Originaire de Toamasina, il serait connu par de nombreuses personnes.

Toutefois, ses proches lui brossent le tableau, le décrivant comme un homme bon et sociable, et qui n'avait pas de problèmes avec qui que ce soit. 

 

Recueillis par F.R.

Fil infos

  • Opposition - Le torchon brûle entre les ex-leaders du « hetsika fotsy »
  • ACTU-BREVES
  • Projet « Lac Iarivo » - Un village touristique et un village artisanal ouverts en août 2025
  • Pour l’acheminement du groupe de 105 MW à Antananarivo - Le Premier ministre en mission à Toamasina
  • Incendie - 231 maisons réduites en cendres à Nosy Varika
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Elections municipales et communales - Un début de campagne timide dans la Capitale
  • CUA - Alexandre Georget nommé PDS
  • Elections municipales et communales - Coup d'envoi de la campagne électorale !
Pub droite 1

Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

A bout portant

AutoDiff