Publié dans Société

Brickaville - Viol atroce d'une petite fille de 2 ans

Publié le mardi, 02 janvier 2024

Les faits horribles suivants sont survenus la nuit du 25 décembre dernier. 

A Antsampanana, Commune rurale de Mahatsara, District de Brickaville, une petite fille de 2 ans prénommée Christina a subi les pires agressions sexuelles, au point que ses parties intimes ont été par la suite ravagées. 

A l'index, un individu surnommé Tigana (40 ans), qui n'est que l'oncle de la petite. Mais les autorités ont fait leur travail et l'homme avait été arrêté puis placé à la prison d'Ambalatavoahangy, depuis. Faits graves, l'oncle incestueux a emmené puis abandonné la victime dans la forêt une fois son forfait accompli, et après avoir séquestré la victime, qui est sous la tutelle de sa grand-mère. Cette dernière dormait profondément pour ne pas voir l'enlèvement de sa petite-fille. Hospitalisée à Toamasina, cette dernière doit être tenue dans les bras de quelqu'un, jour et nuit, du fait des séquelles du viol et de la sonde placée sur son corps.

Mais les tristes faits liés au récent viol de la petite Christina par cet homme de 40 ans ont rapidement fait le tour de la toile. Ils ont choqué profondément l'opinion. Les internautes de France ne sont pas reste. Emus, certains se sont montrés solidaires à la victime et à sa famille. C'est bien le cas des employés de la Poste de Cervy-Grand, toujours en France. Leur homologue malagasy, un natif de Toamasina, leur a expliqué le drame. Du coup, ces employés français se sont mobilisés rapidement pour venir en aide à la petite Christina. Ces braves salariés de ladite entreprise française ont alors décidé de faire une petite cagnotte. En cinq minutes seulement, ils ont pu réunir 60 euros qui ont été aussitôt envoyés à Toamasina. L'argent a été déjà perçu par les proches de la victime.

 

F.R.

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Editorial

  • Règles générales prioritaires
    En ce début de cycle nouveau, il importe de rappeler certains principes de base qui figurent comme étant des lignes directrices à respecter, des balises pour éviter les dérapages ou toutes formes d’abus. Quelques règles inévitables s’imposent. Règle numéro un : respect de l’Etat de droit. Concept de fond qui garantit la crédibilité d’un régime en place, le respect de l’Etat de droit dans toutes ses composantes incarne l’identité d’une Nation digne de respect et de reconnaissance. Un Etat de droit signifie un pays qui respecte la loi en vigueur, les Institutions républicaines et place la dignité humaine au centre des intérêts comme étant une priorité cardinale. Personne n’est au-dessus de la loi ! Un Etat de droit entend la mise en œuvre de façon stricte de la bonne gouvernance, ce qui présuppose la priorité accordée à la transparence. De fait, une gestion saine des ressources publiques et de la…

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