Publié dans Société

Environnement - Favoriser la restauration de l’écosystème

Publié le jeudi, 11 janvier 2024

Un développement dans le projet « TEFIALA », dédié à la restauration des écosystèmes malagasy. Le ministère de l'Agriculture et de l'Elevage a récemment annoncé l'étape de validation de la stratégie de communication et de gestion des connaissances. Selon les responsables au sein dudit ministère, la stratégie vise à partager les enseignements acquis sur diverses thématiques, favorisant ainsi la restauration des écosystèmes. Les objectifs comprennent l'information des autorités locales, la communication des systèmes de planification, ainsi que le changement de comportement au sein des populations locales. 

La mise en œuvre de la stratégie se concentrera sur trois axes fondamentaux. En premier lieu figure la coordination qui vise à faciliter la collaboration entre les différentes parties prenantes. Ensuite, il y a l’amélioration de la visibilité, notamment à travers la mise en avant de la structure et de la réalisation du projet pour une meilleure compréhension. Enfin, le plus important c’est le changement de comportement. Ce dernier volet a pour objectif de susciter des changements positifs au niveau des cibles.

Le projet « TEFIALA » s'inscrit dans l'engagement de Madagascar à restaurer 4 millions d'hectares de terres et de forêts dégradées d'ici 2030. Initié par le ministère de l'Environnement et du Développement durable (MEDD), ce projet a été formulé en 2018 avec la Stratégie nationale de restauration des paysages forestiers et des infrastructures vertes (SNRPF). Soutenu par la FAO (Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture) et financé par le Fonds pour l'environnement mondial, 

il bénéficie d'un soutien financier de 7.334.247 USD pour sa mise en œuvre de 2023 à 2028. Cette initiative conjointe du MEDD et du ministère de l'Agriculture et de l'Elevage souligne l'importance accordée à la restauration environnementale à Madagascar, contribuant ainsi aux objectifs régionaux et mondiaux de conservation des terres et de restauration des écosystèmes.

 

Carinah M.

Fil infos

  • Administration publique - Relance de l’intégration des agents non encadrés de l'Etat 
  • L’étiquette Gen-Z devient outil de récupération politique
  • Stockage de matériels de la JIRAMA à Toamasina - Le Groupe Sodiat apporte des clarifications
  • Persécutions politiques - Les collaborateurs de Rajoelina dans le viseur du régime
  • Fête de la Nativité - Pas de trêve politique
  • Administration public - Six Chefs de Région "par intérim" nommés 
  • Haute Cour Constitutionnelle - Des soi-disant démissions contestées
  • Gouvernement de la Refondation - Distribution de vivres dans le Grand Sud en fin de semaine dernière
  • Parlement - Clap de fin pour le Sénat
  • Face-à-face entre un fourgon et un camion - Un survivant dans un état critique

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff