Publié dans Société

Education nationale - 1.600 enseignants en exercice reçoivent leurs diplômes 

Publié le dimanche, 04 février 2024

La formation des enseignants est un pilier du développement de l’éducation dans le pays. En effet, la mise à jour de leurs compétences est importante pour être à la hauteur de l’attente des élèves.

Samedi dernier, 1.600 enseignants ont reçu leur diplôme de licence, Master I et II au Centre de conférence international (CCI), situé à Ivato. Ces enseignants œuvrent dans des écoles publiques ou privées, réparties dans les 52 Circonscriptions scolaires (CISCO) et ayant suivi une formation au sein de l’Institut de formation des enseignants à Madagascar (IFEM). Ils sont issus de la promotion « Taratra » dont le parrain est le ministre de la Communication et de la Culture, Augustin Andriamananoro.

Dans son discours, le ministre a réitéré l'importance de cette formation ainsi que la mise en valeur du capital humain dans le domaine de l'éducation afin d'améliorer la qualité de l'enseignement dans le pays. Il a aussi rappelé que l'un des trois principaux piliers de la Politique générale de l'Etat ou PGE est le développement basé sur le capital humain.

Ainsi, le ministre de la Communication et de la Culture mise entre autres sur la réalisation des émissions axées sur l’éducation. « Le but de l’éducation n’est pas seulement de décrocher un diplôme ou d’un travail, mais aussi pour devenir un citoyen responsable, capable de participer au développement de la communauté et du pays », dixit-il. Quant au chef de CISCO de Betafo, Tovomanana Tsririnjanahary, la formation des enseignants est un grand pas vers une éducation de qualité pour les enfants malagasy. L’existence de l’IFEM s’avère donc importante pour ces enseignants puisque la plupart d’entre eux se trouvent dans des zones reculées et ne pourront pas poursuivre une formation dans les universités même s’ils voudraient le faire.

 

Anatra R.

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Editorial

  • Post – pillage
    Le redressement post-pillage s’organise. Une cellule du genre comité de pilotage se met en place pour étudier au cas par cas et évaluer le cas échéant les besoins en collaboration avec les représentants directs des « sinistrés ». Constatant les dégâts potentiellement dévastateurs et les ruines subies en un coup de vent par les opérateurs, le Gouvernement prend ses responsabilités. Dans les faits, l’Etat va agir en tant que facilitateur dans toutes les démarches auprès des banques ou autres institutions dispensatrices de crédit. Il (l’Etat) prendra en charge en totalité les intérêts bancaires. L’objectif étant de permettre aux opérateurs ou propriétaires victimes de vandale, de braquage ou de pillage de se remettre dans les meilleurs délais.

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