Publié dans Société

Vie rotarienne - Un nouveau président pour Antananarivo Anosy

Publié le samedi, 20 juillet 2024

 

 

William Befourouack prend le relais. Ce magistrat se trouve à la tête du Rotary Club Antananarivo Anosy pour l’année rotarienne 2024 – 2025. Il succède à Ronni Lovasoa Rahaga, qui a effectué 12 mois d’exercice pour ledit club. Le président sortant n’a pas manqué de dresser un bilan de son mandat, avec plusieurs actions pérennes entreprises, au profit des rotariens ainsi que des communautés, avec la devise “ servir d’abord”. Pour sa part, le président entrant n’a pas manqué de rendre hommage à son prédécesseur et d’avancer les perspectives pour l’année en cours. Multiplier les actions sociales et humanitaires au profit des défavorisées ainsi qu’augmenter l’effectif des rotariens en font partie.

D’ailleurs, le club s’engage à mettre à profit les relations et les contacts pour servir l’intérêt général. Faire progresser l’entente entre les peuples, l’altruisme et le respect de la paix par le biais de relations amicales entre les membres des professions, unis par l’idéal de servir, constitue également l’un de ses engagements. L’intronisation du nouveau président, via la rituelle passation de pouvoir, s’est tenue hier soir à l’Evergreen Hôtel Ampandrana. Une occasion également pour le gouverneur du District rotarien 9220, Marie Françoise Randriamanga, issue du même club, d’exposer son programme.

 

Recueillis par P.R.

 

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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