Les agresseurs ont frappé leur sale coup alors que les victimes étaient déjà couchées. Sans aucune autre forme de procès, ils ont forcé la porte principale pour surprendre ces dernières dans leurs lits. Pendant que les intrus ont soumis les locataires sous la menace, leur intimant l'ordre tout ce qui leur est en possession tels qu'argent liquide et autres biens, le chef famille, bravant la mort, a essayé de s'opposer aux agresseurs. Mais à un contre dix, le malheureux n'a aucune chance de s'en sortir vivant contre des adversaires en surnombre, qui plus est, armés.
De leur côté, l'épouse de la victime ainsi que les autres occupants de la maison ont été battus et reçu une raclée, occasionnant ainsi de sérieuses blessures.
Une fois que les malfaiteurs ont eu ce qu'ils voulaient, c'est-à-dire le butin, ils ont finalement déguerpi. Personne n'a osé lever le petit doigt, du moins tenter une quelconque action risquée afin d'empêcher les assaillants fuir.
Ce n'était que plusieurs moments après que les voisins des victimes, eux aussi traumatisés, ont donné l'alerte aux Forces de l'ordre. Rapidement, la recherche et le ratissage de la Région furent déclenchés tandis que les blessés ont été évacués à l'hôpital. Il s'agit d'un assaut meurtrier, la énième du genre, jamais enregistré, et seulement en l'espace de quelques semaines. L'enquête, qui est l'apanage de la Police, suit son cours.
Franck R.