Publié dans Société

Déception amoureuse
 - Un homme saute du haut du pont de Tanjombato

Publié le lundi, 30 septembre 2024


Branle-bas de combat chez les passants et les riverains dans le périmètre du pont à Tanjombato, vers 8h du matin, hier. Certains d'entre eux auraient été les témoins du plongeon d'un inconnu dans la rivière de l'Ikopa, qui passe à l'endroit. Agé de 37 ans, le concerné qui fut domicilié à Anosibe, dans le 5e Arrondissement de la Capitale,  se serait délibérément noyé dans le but de mettre fin à son existence la suite d'une déception amoureuse, selon une source. "Sa compagne l'aurait quitté. Et le malheureux ne l'a pas digéré. Son exaspération et sa peine du cœur l'ont donc poussé à commettre l'irréparable", s'est contenté d'avancer une source proche du dossier.
Le hic, c'est que les témoins qui ont assisté à la scène n'ont pu rien faire pour sauver la victime car ils étaient loin de se douter de l'intention du trentenaire. Ce n'était qu'au bout d'un long moment de stupeur que ces curieux ont fini par réaliser ce qui s'est produit : le quidam n'a plus émergé de l'eau ! L'alerte fut donnée ! La Police était venue faire le constat tandis que les sapeurs-pompiers ont commencé l’exploration du fond de la rivière pour retrouver la victime. Il leur a fallu 3 tours d'horloge avant que les sauveteurs n'aient pu finalement repérer le corps déjà inerte et sans vie du trentenaire, enfin le remonter à la surface. Le BMH s'est chargé de la levée du corps après un constat médical.  "Pour l'heure, aucun proche de l'homme ne s'est pas encore manifesté", a assuré une source au niveau du commissariat de Tanjombato, hier après-midi. De son côté, le service de la morgue d'Ampefiloha a assuré n'avoir fait aucune réception de corps du noyé, vers le début de soirée, hier. Aussi, cette information dissipe l'allégation de certaines sources affirmant qu'un couple se serait suicidé en plongeant dans l'Ikopa. D'ailleurs, la Police a confirmé qu'il n'y avait que cet homme à se suicider dans cette rivière qui ceinture la banlieue sud de la ville.

Franck R.

Fil infos

  • Opposition - Le torchon brûle entre les ex-leaders du « hetsika fotsy »
  • ACTU-BREVES
  • Projet « Lac Iarivo » - Un village touristique et un village artisanal ouverts en août 2025
  • Pour l’acheminement du groupe de 105 MW à Antananarivo - Le Premier ministre en mission à Toamasina
  • Incendie - 231 maisons réduites en cendres à Nosy Varika
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Elections municipales et communales - Un début de campagne timide dans la Capitale
  • CUA - Alexandre Georget nommé PDS
  • Elections municipales et communales - Coup d'envoi de la campagne électorale !
Pub droite 1

Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

A bout portant

AutoDiff