Publié dans Société

Coups de poignard mortels
 - Un policier stagiaire en cavale

Publié le mercredi, 16 octobre 2024


Drame au sein d'un couple, mardi soir dernier à Toliara. Une jeune femme répondant au nom de Sandra Hortencia Raharinirina, cette ex-résidente de la Commune de Mitsinjo, à Toliara II,  a été assassinée de coups de couteau dans un appartement sis dans un quartier de la cité du soleil. A l'index comme le suspect dans ce meurtre, un policier stagiaire en service au commissariat de Betania, et qui n'est autre que le compagnon de la victime, selon une source policière. Ce dernier est actuellement introuvable après qu'il a pris la fuite, sitôt après le meurtre.
Ce mardi-là,  précisément vers 21h30, la Police fut informée sur le fait que son élément stagiaire, venait d'assassiner son amie. Mais avant que les choses ne se tournent très mal ainsi, du moins pour la victime, les voisins de quartier du couple, ont affirmé l'avoir entendu se disputer violemment, du moins dans des vifs échanges verbaux. Puis, les riverains s'étonnaient du silence suspect en provenance de la maison des protagonistes. Et là, stupeur chez certains riverains en constatant une fenêtre de la maison laissée ouverte alors que la porte principale, elle, est restée verrouillée, depuis l'intérieur, selon une source. Ce qui laisse supposer que le suspect, actuellement recherché par la Police, mais aussi la Gendarmerie, se serait échappé à travers cette fenêtre. En attendant, l'enquête se poursuit tandis que les proches de la victime ont porté plainte pour homicide volontaire.


Franck R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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