Publié dans Société

Série d'attaques armées à Anosibe - Un membre d’un gang éliminé

Publié le jeudi, 13 mars 2025

Le secteur du "Tranodimy" à Anosibe gagne la sinistre réputation d'être une zone rouge à cause des bandits qui y sévissent. Ne croisant pas les bras, le Service anti gang (SAG) de la Police y a procédé à un coup de filet musclé la nuit du 11 mars dernier.  C'était dans ces circonstances que les éléments de ladite unité de la Police ont éliminé un suspect. Ce dernier serait le membre d'un gang armé qui dicte sa loi dans cette zone susmentionnée du quartier d'Anosibe, et même jusqu'à Ampangabe.

Mais revenons sur le coup de force du SAG du 11 mars dernier. Informé du funeste projet de ces bandits pour frapper dans le secteur, les hommes du SAG, en tenue civile, s'y sont déployés à l'insu des premiers, et bien avant même qu'ils n'arrivent sur place.

A minuit tapante, l'équipe de malfaiteurs en question a finalement pointé son nez à l'endroit. Réalisant toutefois que ce dernier a été quadrillé par la Police, les assaillants n'ont pas hésité à ouvrir le feu sur les éléments engagés dans l'opération. Il s'ensuivait alors un chaos lié à un échange de tirs entre les deux camps, fusillade au cours de laquelle l'un des assaillants fut mortellement touché par les balles des policiers.

Lors d'une vérification, ces bandits utilisent un revolver factice. Par contre, ils sont en détention de balles réelles. Actuellement, le SAG recherche les complices en cavale du bandit éliminé.

F.R

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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