Publié dans Société

Disparition d'une nuit - Deux fillettes retrouvées saines et sauves  

Publié le jeudi, 17 avril 2025

Leurs parents étaient paniqués, sinon craignaient le pire. Avant-hier soir, deux fillettes dont J. (2 ans) et L. (6 ans) ont subitement disparu alors qu'elles jouaient dans la cour de la maison avec un troisième enfant, celui des propriétaires. Le fait s'est produit à Alasora où les parents des fillettes ont partagé l'information inquiétante sur les réseaux sociaux. Mais hier matin, un revirement inattendu à l'affaire : les deux fillettes ont été retrouvées saines et sauves, et pas loin de chez elles !

Défaut de communication

Car les parents des petites, qui habitent au rez-de-chaussée, n'ont pas pu imaginer une seconde que ces dernières étaient allées ailleurs, mais étaient bel et bien restées sur place, c'est-à-dire dans leur maison, mais seulement au 3e étage, précisément chez le... propriétaire ! Mais comment cela a-t-il pu se produire ? Une absence de communication entre elles et chez les adultes. Car le soir venu, et sans que leurs parents n'étaient prévenus, les deux fillettes, vers 17h mercredi dernier, sont montées jouer au troisième étage avec 

l'enfant du propriétaire. C'était dans ces circonstances que leurs parents ont constaté la disparition des deux petites de la cour. Dans leur panique, leurs géniteurs étaient alors partis les rechercher. Entre-temps,  le propriétaire décide finalement de ramener les petites chez elle au rez-de-chaussée. Mais puisqu'il n'y a pas trouvé ses locataires, il a dû alors rentrer bredouille chez lui, avec bien sûr les filles des concernés. Ces dernières devaient ainsi passer la nuit chez lui. Ce qui laissait penser au pire, du moins pour les proches des fillettes. Malgré cela, l’affaire s'est finalement dénouée de façon plutôt heureuse pour tout le monde.

F.R.

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Editorial

  • Traque aveugle (II) ?
    Nous revenons à la charge. Au risque d’être taxé d’entêté, il nous est impossible de ne pas revenir sur le thème précédent (« Traque aveugle » du 14 /11 /25) afin d’interpeller vivement ce que nous appelions, au final, de traque aveugle à l’encontre des entités de productions appartenant à des nationaux et laisser, non-inquiétés, certains ressortissants étrangers souvent naturalisés malagasy aux pratiques douteuses. Des voix commencent à s’élever et finissent par remonter en surface. Ces voix discordantes inondent la toile et dénoncent : « pourquoi s’acharne-t-on sur certains rares Gasy, capitaines d’industrie, en laissant « en paix » les … autres ! Suivez mes yeux ! Lors de la première édition de la « Traque aveugle » du 14 novembre 2025, on était amené à capter l’attention du public sur certaines opérations militaires, des fois, musclées qui sont en fait, de source avisée, des perquisitions officielles. On différencie difficilement…

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