Publié dans Société

Conférence mondiale sur la langue chinoise - Diverses retombées pour l’université de Toamasina

Publié le mercredi, 19 novembre 2025

« L’innovation mène, l’IA permet : Apprendre le chinois sans frontières ». Tel a été le thème de la conférence mondiale sur la langue chinoise 2025, organisée du 14 au 16 novembre derniers à Beijing. L’université de Toamasina y a participé, à travers son président, le Pr Diny Razanakolona, ainsi que 2 directeurs de l’Institut Confucius de Toamasina et celui de Ningbo. En participant à cet événement, ladite université confirme son engagement dans l’innovation pédagogique et l’ouverture internationale. D’ailleurs, diverses retombées prometteuses sont notées dont la modernisation de l’enseignement du chinois. La délégation de l’université de Toamasina a pu découvrir les dernières innovations technologiques, telles que la plateforme d’apprentissage adaptatif HSK GO et les classes intelligentes. Ces solutions pourraient prochainement enrichir la formation de ses étudiants et moderniser ses approches pédagogiques. 

La conférence a également été un espace d’échanges privilégié avec le «Center for Language Education and Cooperation» ainsi qu’avec plusieurs universités chinoises. Ces contacts ouvrent la voie à de nouveaux programmes d’échanges académiques et des projets de recherche conjoints. D’un autre côté, l’établissement se positionne pour bénéficier de ressources numériques avancées et de programmes de formation destinés à son personnel enseignant, garantissant une éducation répondant aux standards internationaux.

L’université de Toamasina ambitionne de devenir un pôle d’excellence en enseignement des langues et en coopération internationale, au service du développement des étudiants et du pays. Pour ce faire, sa délégation à Beijing a pu s’échanger avec les 5000 participants issus de 160 pays, outre le renforcement de partenariat, entre autres avec  l'université de Ningbo.

Recueillis par P.R.

 

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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