Publié dans Société

Mauvais temps - Les rues de la Capitale sous l'eau, un jeune porté disparu

Publié le jeudi, 07 février 2019

Il a fallu plus d'une heure de forte pluie hier après-midi pour que l'effet se soit fait durement sentir.  Comme on l'a redouté dans pareille situation, la grosse pluie d'hier après-midi a fait  une victime. Les premiers éléments d'une information ont avancé un drame lié par la disparition d'un jeune élève, probablement emporté par les eaux de ruissellements tumultueuses du côté d'Andraisoro. Bien qu'on soit encore aussi dans l'attente d'un éventuel bilan définitif parlant de victimes ou de destructions d'infrastructures, gageons seulement que circuler dans la Capitale était donc rendu pratiquement impossible  pendant cette averse d'hier après-midi. Tout simplement parce que la plupart de ses rues ont été complètement submergées par de l'eau qui arrive parfois à mi-corps.

C'était bien le cas à Behoririka et ses environs, ou surtout encore à Analakely. La mécanique a diablement souffert aussi et on a pu assister à des pannes de voiture par çi, ou par-là, le moteur étant complètement noyé. A part ces véritables inondations qui ont affecté la ville, l'on a signalé d'ores et déjà des panneaux publicitaires, des toitures ou autres clôtures abattus par les coups de vent qui ont accompagné l'orage. Annoncé pour mercredi dernier, l'orage n'a donc frappé la Capitale qu'hier après-midi. L'impact de la montée des eaux a durement perturbé la circulation, qui était énormément retardée. Motif : les usagers ont dû attendre une heure au moins encore après l'averse pour que la plupart aient pu reprendre la route.
Franck Roland

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Editorial

  • Trop, c’est trop !
    Invivable ! Innommable ! Insupportable ! C’est pratiquement impossible de vivre comme il faut et de circuler comme il se doit dans le pays, sur les routes nationales tout comme dans le milieu urbain cas de celui de la Capitale. Trop, c’est trop ! Un étranger de passage récemment au pays, que nous tairons l’identité, la ville et le pays d’origine, n’a pu ne pas laisser échapper son étonnement plutôt son indignation de voir le bordel, le laxisme et l’anarchie partout où il passe. Dans la Capitale, c’est inimaginable de devoir constater l’anarchie. Vous allez nous rétorquer, peut-être, que c’est n’est pas un fait nouveau. Et nous risquons d’être taxés d’ « alarmistes » ! Oui, mais, au nom de la vérité et en vertu des intérêts hautement supérieurs des concitoyens devant subir quotidiennement cette galère voire ce calvaire à chaque jour que le Bon Dieu fait, on ne peut …

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