Publié dans Société

ONG Bel Avenir - Réouverture du centre pour l’autonomie des femmes

Publié le dimanche, 07 juillet 2019

Les femmes sont au cœur des équilibres familiaux, culturels, sanitaires et sociaux. A ce titre,  leur autonomisation est l’une des clés indispensables au développement économique de la société malagasy. Mais dans ces domaines, beaucoup d’efforts restent à entreprendre  pour que les femmes aient ces chances d’entreprendre en toute liberté.

Convaincue de ces difficultés rencontrées par de nombreuses femmes malagasy, l’ONG Bel Avenir mène, comme plusieurs autres organisations, des actions pour promouvoir l’égalité des genres dans le pays. Son intervention consiste à atteindre cet objectif, qui est l’autonomisation des femmes, en mettant en application son slogan “L’éducation comme moteur de développement”. C’est ainsi qu’en 2017, le Centre d’accueil et d’intégration des femmes (CAIF), a vu le jour. 

Grâce à l’appui de la Fundación Barceló, le CAIF a réouvert ses portes en juin pour sa deuxième promotion. Sur ce, 42 femmes se sont inscrites pour suivre des formations professionnelles d'une durée de 12 mois. L’objectif général du centre est de soutenir dans leur vie quotidienne ces femmes des quartiers défavorisés de Toliara, en particulier celui d’Ankalika, et de leur donner les outils nécessaires pour s’épanouir et développer des activités génératrices de revenus.

Par ailleurs, à l’occasion de la fête de l’indépendance de Madagascar, la présidente de l’ONG Bel Avenir, a effectué une visite au Centre d’accueil et d’intégration des femmes et distribué aux enfants des vêtements ainsi que des lampions. C’était aussi une opportunité pour elle d’encourager ces femmes à étudier pour réaliser leurs rêves. De plus, la présidente n’a pas oublié les jeunes mères du centre qui viennent d’accoucher en leur apportant des cadeaux lors de visites à domicile.

Recueillis par Anatra R.

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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