Publié dans Société

Session exceptionnelle du Baccalauréat - 97 136 candidats en lice !

Publié le mardi, 22 octobre 2019

Jour J. Tous les candidats recalés lors de l’examen officiel du Baccalauréat de cette année pourront participer à la session exceptionnelle à partir de ce jour jusqu’à samedi prochain. Sur les 167 097 candidats de l’enseignement général, présents lors de la session de la fin septembre jusqu’en début octobre, 69 961 ont pu décrocher leur diplôme, soit un taux de réussite de 42,75 % au niveau national. Les 97 136 candidats recalés pourront saisir leur seconde chance lors de la session exceptionnelle, quoi que celle-ci ne soit pas obligatoire, selon les confirmations du Pr Blanche Nirina Richard, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESUPRES). Aucun changement majeur n’a été adopté pour les organisations techniques de cette session. « Les candidats devront se servir de leurs anciennes convocations.

Ceux qui ont perdu les leurs ont dû chercher des duplicatas auprès de leur Office du baccalauréat respectif. Sinon, ils devront se munir de leurs cartes d’identité scolaires ou nationales afin d’accéder à leurs salles d’examen », ajoute un responsable au sein du MESUPRES. D’un autre côté, les 299 centres d’examen répartis dans toute l’île seront de nouveau ouverts. D’ailleurs, les noms des candidats seront inscrits dans les mêmes salles. Rappelons que les sujets d’examen pour la session spéciale sont acheminés depuis le week-end dernier, soit par voie terrestre ou par voie aérienne. La Présidence de la République s’est assurée de la prise en charge des frais y afférents ainsi que des autres dépenses liées à ladite session. A vos examens !
Recueillis par Patricia R.

Fil infos

  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord
  • Assemblée nationale - Le Gouvernement dévoilera mardi son Programme général de l’Etat
  • Actu-brèves

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff