Publié dans Société

Recherche de Jo Willy Rabe - Mobilisation générale de la Police nationale

Publié le mardi, 22 octobre 2019

Le président directeur général de Sourcin voyage est devenu, en moins de 48 heures, la priorité de la section économique de la Police nationale. C’est en effet cette dernière, après les plaintes reçues contre Jo Willy Rabe, qui a lancé l’avis de recherche de ce Pdg qui a déjà fait parler de lui auparavant par l’entremise de JK groupe. Il s’agit de la vente à prix défiant toute concurrence des ordinateurs portables que bon nombre de personnes, qui en avaient commandé, n’ont pu prendre possession ni le remboursement de leur argent. Ce n’est ni plus ni moins que de l’escroquerie et d’abus de confiance.  Quelques années plus tard, Jo refait le même coup par le biais de « Sourcin voyage » qui vendait des séjours à l’étranger, Dubaï, Etats-Unis, Chine ou autres. Si d’autres ont pu faire le voyage sans encombre au début, certains grincent actuellement les dents puisque Sourcin voyage, en dépit du paiement intégral de la prestation, n’est plus en mesure de concrétiser leurs rêves. Une centaine de plaintes se trouvent sur la table des services de la Police nationale, Brigade criminelle et Police économique. L’avis de recherche lancé, la traque de Jo est lancée.
 

D’après les informations, l’arrestation de cet opérateur économique pas comme les autres mobilise une grande partie des éléments de la Police économique. Les responsables d’aéroports et ports de Madagascar sont informés de cet avis de recherche. Apparemment, les portes de sortie du territoire national sont fermées pour le Pdg de Sourcin voyage. Reste à savoir si elles sont hermétiques. Un autre point d’interrogation concerne la présence ou non du recherché à Madagascar. Là, les avis divergent étant donné que des voix affirment qu’il se trouve à Dubaï  alors que certaines jurent l’avoir encore vu dans la Capitale samedi dernier, plus précisément du côté de Faravohitra…..
La Rédaction

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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