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Déception. C’est le sentiment des riverains et usagers d’une portion de rue située à Ankadilalana qui, actuellement, se trouve dans un état lamentable. En montant, elle se situe au sommet, plus précisément avant la descente vers Tsimbazaza, où les automobilistes devraient rouler lentement, ou même s’arrêter, et effectuer du zigzag pour éviter les trous béants. La communication de la Commune urbaine d’Antananarivo sur les rues à réhabiliter avant la fin de l’année a jeté de l’huile sur le feu de la colère des usagers dans la mesure où cette portion qui fait jaser plus d’un ne figure pas sur la liste. A qui revient ainsi la responsabilité de sa réhabilitation ?
« Nous ne sommes pas les intervenants directs. On ne fait qu’apporter notre aide si on a les moyens de le faire », rétorque le gouverneur d’Analamanga, Hery Rasoamaromaka. Celui-ci dans un passé récent a effectué des grands travaux du côté de Besarety, 67 Ha ou à Andohatapenaka, il est tout à fait normal ainsi que les regards se sont tournés vers lui. Des voix se sont effectivement fait entendre ces derniers temps interpellant le locataire du bureau d’Ambohidahy pour qu’il prenne ses responsabilités. Mais en se référant à cette réponse, le gouverneur exclut toute intervention à Ankadilalana, du moins pour le moment.
La réponse vient d’une source au sein de la Commune urbaine d’Antananarivo. « Le fait de ne pas trouver cette portion sur la liste des rues à réhabiliter n’est pas une omission. Elle sera réhabilitée mais pas par la CUA mais plutôt par le ministère de l’Aménagement du territoire et des Travaux publics », précise notre source. Elle révèle que le MATP a déjà sorti une liste des rues dans la Capitale qu’il prendra en charge entièrement d’où le choix de la CUA de s’orienter vers d’autres sites.
Par contre, selon toujours cette source, la réhabilitation de la rue vers l’Hôpital militaire (HOMI) de Soavinandriana figure bel et bien dans le programme de la CUA même si elle n’est pas inscrite sur la liste communiquée dernièrement.
La Rédaction

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La une du 03 septembre 2020

L’association « Tous ensemble pour Madagascar(TEM) » a tenu son Assemblée générale extraordinaire(AGE) à la fin du mois de juillet dernier à Paris. Une AGE au cours de laquelle les participants ont décidé l’abrogation des anciens statuts de TEM, l’abrogation de tous les anciens mandats des responsables ou correspondants de TEM, l’élection des membres du conseil d’administration, organe suprême qui dirige l’association, l’élection des membres de la haute autorité de bienveillance, l’élection des délégués fédéraux. « Cette refondation du mouvement est utile pour travailler dans l’efficacité et la transparence sur toute activité visant à atteindre l’émergence de Madagascar avec le Président Andry Rajoelina », relate un communiqué de presse de l’association parvenu à notre rédaction hier. Les participants à l’AGE ont, dans la foulée, procédé à l’élection des nouveaux dirigeants de l’association sur la base de ses nouveaux statuts. Rasamimanana Hilarion a été élu président du conseil d’administration. Ramambazafy Andrianasolo et Lantoniania Ghislain Olivier occuperont les postes de  vice-président, Ranaivombololona Diba Richard celui de président de la haute autorité de bienveillance, et Rabodomalala Yasmine celle de déléguée générale du bureau exécutif. Tous les autres responsables ont été élus au cours de l’AGE selon les précisions. D’après des précisions fournies, la Préfecture du Val de Marne, pour validation du changement de dirigeants de TEM, a publié dans le Journal officiel de la République française, le samedi 08 août 2020, le nouvel objet et la nouvelle adresse du siège social de l’association.

La rédaction

C'était une effusion de sang dans la journée d'hier sur deux de nos routes nationales. Trois personnes, encore jeunes, tous ayant voyagé sur des motos, ont ainsi perdu leur vie dans des accidents survenus dans des circonstances effroyables. C'était le cas à Ambatolampy, sur la RN 7 lorsque la moto qui a transporté ces deux membres d'une famille domiciliée dans cette dernière du Vakinankaratra, était entrée violemment en collision avec un camion semi-remorque appartenant à une entreprise locale de fabrication de boissons gazeuses.

Un grand soulagement pour les parents et les candidats à l’examen pour l’obtention du Certificat d’études primaires élémentaires (CEPE). Cependant, les épreuves d’hier ne concernaient que les ex-Provinces d’Antananarivo et Antsiranana. D’après l’organisation émanant du Gouvernement, les autres Régions ont leur propre calendrier quant au déroulement de ce premier examen officiel. Pour ces ex-Provinces sus-mentionnées, après tant d’inquiétude et d’angoisse sur le maintien ou pas de la session 2020, les épreuves se sont déroulées dans le calme.

 

Les candidats  inscrits à l’examen d’obtention du Certificat d’études primaires élémentaires « CEPE » ont été chanceux durant cette année- scolaire  secouée par la Covid-19. Une des raisons, l’émission télévisée intitulée « TVM’Bosy » produite par la Télévision nationale malagasy  « TVM » avec le soutien du ministère de la Communication et de la Culture (MCC).  Même en étant confinés, ils ont eu droit à un mois de révision à travers un programme quotidien de 45 minutes diffusé par cette chaine nationale.

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Covid-19, où en est-on ?

Nous entamons les quatre derniers mois de l’année. Les esprits anticipent déjà comment 2020 se terminera-t-elle ? Et on s’impatiente de savoir le bilan de cette année gâchée par la visite inopinée  de ce virus qui sème la terreur partout où il débarque. Toutefois, avant que l’année en cours veuille bien tirer à sa fin, il importe de faire le point de situation présentement, « où en sommes-nous ! ». Quelle qu’en soit l’issue, le combat continue. Nous avons affaire à un ennemi invisible qui ne se laisse pas se faire écraser facilement.

 

Valorisation des déchets. Aujourd’hui, la recherche de solutions durables associant développement et conservation de l’environnement s’intensifie. Les projets œuvrant dans ce sens se multiplient. Crédit CARAT en fait partie. Ce projet propose notamment d’utiliser les bouteilles en plastique comme monnaie d’échange. « Nous nous focalisons aujourd’hui sur l’établissement d’un système de crédit de recyclage pour permettre à la population d’échanger leurs déchets en plastique contre du crédit. Ils pourront ensuite acheter divers produits et services chez nos différents partenaires avec les crédits collectés. Quant aux déchets collectés, ils seront remis aux entreprises et sociétés de recyclage utilisant le plastique comme matière première, notamment pour la fabrication de pavés plastiques autobloquants ou encore de meubles », explique Aina Lucas Ramanampisoa, co-fondateur du projet Crédit CARAT.  

 

Une relance des activités juste et verte. L’économie de Madagascar a particulièrement souffert de la crise sanitaire générée par la propagation de la pandémie de coronavirus dans le pays. Pour faire face à ce problème, l’Etat a notamment mis en place un plan de relance englobant tous les secteurs d’activité, à savoir le Plan multisectoriel d’urgence. Toutefois, les acteurs œuvrant dans le secteur de l’environnement déplorent le peu de valeur que les autorités ont accordé à la conservation des ressources naturelles.

Le Sénat français a publié un rapport suite à un déplacement d’un groupe d’études dans les Nosy malagasy du 29 septembre au 03 octobre 2019. Ce rapport recommande un renforcement de la souveraineté française sur ces îles au mépris des négociations en cours sur la restitution des îles à Madagascar.

Du 29 septembre au 03 octobre 2019, la préfète administratrice supérieure des TAAF ou Terres australes et antarctiques françaises, Evelyne Decorps, conjointement avec le Général commandant la Force armée de la zone sud de l’océan Indien ou FAZSOI, a organisé une « tournée de souveraineté » dans les Nosy malagasy. Une délégation de sénateurs s’est jointe à la mission afin d’apprécier la richesse de ces îles et de mesurer les enjeux importants qui justifient la présence française. Le Sénat français a alors publié le rapport d’information de la mission en date du 22 juillet 2020.

 

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Editorial

  • Moisson !
    Un temps pour pleurer, un temps pour rire ! Un temps pour parler, un autre pour se taire ! Un temps pour la semence, un temps pour la moisson ! Un temps pour le travail (laborieux et sérieux), un autre pour la récompense ! En effet, chaque chose a son temps ! Le temps de la moisson arrive. Une belle moisson ! Les Barea, les héros de la Nation récoltent ce qu’ils ont semé. Et les récompenses tombent telles de fines gouttes de pluie qui arrosent gracieusement la terre sèche. Les concitoyens à l’image du numéro un du pays, Rajoelina Andry Nirina et son épouse, ne tarissent point d’éloges à nos 22 joueurs notamment à l’endroit des onze choisis pour porter les couleurs nationales sur la pelouse. Ils ont brillé ! Tout le monde s’accorde à dire qu’il s’agit d’une grande première dans l’histoire du football malagasy : une équipe…

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