Super User

Super User

Pour la protection du bien commun. Après des actes de vandalisme qui se sont produits à la Rocade d’Iarivo, les trois Communes environnantes à savoir, Antananarivo-Renivohitra, Ambohimangakely et Ankadikely Ilafy se sont donné la main pour protéger et entretenir cette nouvelle infrastructure. Durant la signature de la convention qui s’est tenue, hier, à la Mairie d’Analakely, les maires ont indiqué que cette Rocade est un bien commun des trois Communes en particulier et la population malagasy, en général.

%PM, %01 %965 %2021 %22:%Sep

S.O.S. la Rocade !

A peine inaugurée, en grande pompe, aussitôt après mise en service, la Rocade du Nord-est officiellement appelée « Rocade d'Iarivo » se trouve déjà en péril. Vandales, vols, mise à sac, etc., la nouvelle construction, un vrai joyau, subit périlleusement déjà les méfaits des hommes inconscients et immoraux. Passerelles, garde-fous métalliques, lampes, etc., disparaissent de jour comme de nuit. A ce rythme, la Rocade d'Iarivo serait l'ombre d'elle-même. S.O.S. la Rocade d'Iarivo !

 

Tout un investissement. De nombreuses réserves naturelles comme Ankarafantsika, Menabe Antimena ou encore Kirindy subissent ces dernières années la pression des exploitations illicites de maïs. En se basant sur les faits rapportés par les communautés environnantes et les gestionnaires de ces zones protégées, ces exploitations sont développées par des migrants en provenance de la région Sud de Madagascar.

Retombées positives pour les citoyens. C’est sous cette optique que le ministère du développement Numérique, de la transformation Digitale, des Postes et des Télécommunications (MNDPT) a reçu, en début de semaine, les représentants des opérateurs en téléphonie mobile du pays notamment. Ainsi, Tahina Razafindramalo le nouveau MNDPT, a profité de la visite de courtoisie de ces opérateurs en téléphonie mobile, l'Internet ainsi que le mobile banking pour échanger ouvertement sur les divers chantiers en cours dont notamment celui concernant la réduction des coûts en matière de télécommunications.

%PM, %01 %963 %2021 %22:%Sep

RMDM France - Faux et usage de faux !

Manque d’audience et peu sollicité par les médias, le RMDM France se verse dans le faux. Ces derniers temps, en effet, les dirigeants de cette particule d’opposition partagent sur les réseaux sociaux une coupure d’un journal qui aurait traité le déplacement du Président de la République Andry Rajoelina en France. La virulence des propos du soi-disant journaliste sautent aux yeux des lecteurs non seulement les titres mais également le contenu.

L’Etat malagasy va utiliser des drones pour acheminer des vaccins et des médicaments anti-Covid-19 dans des zones reculées et enclavées du pays. Selon le compte rendu du Conseil des ministres tenu hier à Iavoloha, le Gouvernement compte en effet consacrer un budget à la formation pour l’utilisation de ces objets volants.

Double événement. Demain et ce samedi, l’Etat malagasy procédera respectivement à l’ouverture officielle et à l’inauguration du Stade Barea de Mahamasina. Le Président de la République Andry Rajoelina a invité à cette double occasion un grand nom du football africain et mondial en l’occurrence Samuel Eto’o.

%PM, %01 %955 %2021 %21:%Sep

LA UNE DU 02 SEPTEMBRE 2021

%PM, %31 %871 %2021 %19:%Aoû

La une du 1er septembre 2021


Production locale insuffisante. Selon les autorités en charge du commerce et de la consommation, il reste encore un gap flagrant de plusieurs tonnes à combler sur le marché du riz et qui ne peut s’effectuer que grâce au recours à l’importation de cette denrée. D’après ces reponsables, une légère baisse du cours à l’international a été constatée. De ce fait, le prix du kilo du riz importé sur le marché local ne devrait pas excéder les 2 000 ariary. Ce constat vient d’être exposé et proposé aux opérateurs de la filière « riz » œuvrant dans l’importation par le ministère du Commerce. Le marché du riz est caractérisé par un prix flottant qui varie selon la période de l’année. La récolte n’a lieu que pendant une certaine période, représentant une petite fraction de l’année, de sorte que les ventes et la consommation au cours des autres périodes de l’année se font à partir du grain stocké. Ce marché est ainsi caractérisé par une offre insuffisante et des difficultés au niveau de la couverture des besoins rizicoles de la population. On assiste par la suite à un accroissement progressif de la dépendance en ce produit envers l’extérieur. Avec l’imposition du prix au kilo ne dépassant pas les 2 000 ariary, les importateurs devront ainsi négliger des paramètres aussi divers que variés au détriment de leurs marges bénéficiaires. A commencer par le cours de ces produits à l’international, le fret international, le dédouanement et autres taxations à tous les étages jusqu’à ce que le riz arrive dans les commerces de proximité.

Déficit

La valeur des importations de Madagascar a connu une hausse de 20 %, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique (INSTAT). Sans aucune surprise,  les importations du pays durant cette période sont largement constituées par l’importation de riz, vu l’envolée de prix des différentes variétés de riz local, constatée depuis quelques temps. L’approvisionnement au niveau national est un défi majeur durant ces deux dernières années, en raison de la condition climatique défavorable à la riziculture dans les zones productrices, sans parler de la crise sanitaire. En effet, à Madagascar, la part de l’auto-consommation rizicole est très élevée, avec environ 55% des récoltes qui sont auto-consommées. En moyenne, seule 27 % de la production est vendue, dont 19,6 % sous forme de paddy et 7,6 % sous forme de riz blanc. En parallèle, 18 % de la production est stockée. Et une fois les ventes locales ou de proximité déduites, seulement 11 % de la production alimente les autres Provinces et approvisionne les villes.
Il faut savoir que la plupart des ménages mangent du riz trois fois par jour. La consommation moyenne est de 138 kg/hab/an en milieu rural et 118 kg/hab/an en milieu urbain. Malgré cela, la production est effectivement encore loin d’être suffisante. Madagascar doit encore importer du riz pour combler le déficit au niveau de la production nationale.

Hary Rakoto

Fil infos

  • Lac Iarivo et Village Artisanal - Deux projets phares pour transformer Ivato et Antananarivo
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Vol de bovidés - Durcissement des peines en vue
  • Collecte de riz 2024 - L’Alaotra-Mangoro se prépare
  • Assemblée nationale - Pas de face-à-face ministres-députés avant juin
  • ACTU-BREVES
  • Ouverture de la session parlementaire - Richard Ravalomanana dénonce les fauteurs de troubles
  • Évasion du colonel Patrick - Le président Rajoelina dénonce une faille inacceptable
  • Session du Parlement - Une rentrée tout à fait ordinaire

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Education complète !
    Un sujet délicat ! Une initiative pilote mise sur les rails par le département de l’Education nationale (MEN) en partenariat avec le Mouvement malagasy pour le planning familial (MMPF) dans le cadre du Programme d’appui aux droits et la santé sexuelle et reproductive (PADSSR) dont le lancement officiel s’est tenu ce lundi 5 mai à Antaninarenina – Antananarivo. L’initiative vise à étoffer les jeunes y compris les adolescents (élèves) sur les risques qu’ils encourent dans les aventures précoces aux rapports sexuels. En effet, le projet pilote a pour but de réduire les grossesses prématurées, la propagation des infections sexuellement transmissibles (IST) qui ont malheureusement tendance à s’intensifier surtout dans les milieux populaires et de promouvoir l’autonomie des jeunes en matière de santé reproductive. Louable initiative !

A bout portant

AutoDiff