Publié dans Sport

Taekwondo - 1er Championnat d’Europe en ligne - Deux Malagasy en action

Publié le lundi, 04 mai 2020

Les compétitions de taekwondo continuent en ligne malgré le confinement. Une grande première, le 1er championnat d’Europe de taekwondo  poomsae individuel en ligne, spécialement en cette période de confinement sous forme d’open, se déroulera du 4 au 10 mai. Le candidat filme ses poomsaes, au total six, et les a envoyés par la suite  à l’organisateur le 28 avril dernier, date butoir.  Ils attendent d’ores et déjà les résultats prévus le 10 mai prochain au plus tard. Deux Malagasy sont en action pour la quête du titre. Il s’agit du combattant expatrié, Nicolas de Gonzague Randriamiandrisoa, plus connu sous le sobriquet Nicolas Rangonz, pour les intimes,  6e dan en taekwondo et Rivo Rakotobe, directeur technique national (DTN) au sein de la Fédération malagasy de taekwondo WT (World Taekwondo).
 « Je ne peux pas rater une telle occasion surtout après la vague d’annulation et de report des différentes compétitions internationales, même si c’est pour la première fois de l’histoire de taekwondo. Maintenant, j’attends patiemment le résultat », a dit Ragonz,  champion de France master 2 en février. D’après toujours notre représentant, qui a l’intention  de séduire les juges, il a choisi de faire passer dans ses vidéos le poomsae « Keumgang et Sipjin »,  au premier tour, « taebaek  et Jitae » en demi-finale et « koryo et chongwon » en finale.
Une opportunité pour l’expert malagasy de rattraper le mondial de Danemark, initialement prévu du 21 au 24 mai, mais finalement reporté.
Elias Fanomezantsoa




Fil infos

  • Elections consulaires des Français de l’Etranger - La liste Français du Monde revendique une meilleure prise en charge sociale
  • Refondation - « L’espoir d’un véritable renouveau démocratique s’amenuise », dixit la société civile
  • Direction Générale de l’ARAI - Un homme de l’intérieur prend les rênes
  • Premières pluies - Les infrastructures déjà mises à très rude épreuve
  • Actu-brèves
  • HCC - Trois anciennes ministres réintègrent l’Assemblée nationale
  • Concertation nationale - LES RECOMMANDATIONS D’UN CITOYEN D’AMBATONDRAZAKA
  • Détention de Rinah Rakotomanga - Son avocate dénonce des dessous politiques
  • Actu-brèves
  • Loi de finances - Nouveau huis clos des députés

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

A bout portant

AutoDiff