Publié dans Sport

COM-Journée olympique - « Partageons ces valeurs auxquelles nous tenons »

Publié le mardi, 23 juin 2020

Le 23 juin marque la célébration de la Journée internationale olympique. Elle fut célébrée pour la première fois le 23 juin 1948 par 09 CNOS. Les 54 comités nationaux olympiques membres de l’ACNOA célèbrent dorénavant cette journée. Madagascar en tant que membre à part entière se réjouit de cette célébration. Pour marquer l’évènement, le président du Comité olympique malagasy (COM), Siteny Andrianasoloniaiko, n’a pas manqué  de saluer les olympiens malagasy et du monde entier ainsi que les sportifs.
En cette période d’urgence sanitaire, le président du COM a adressé quelques mots de réconfort à toutes les victimes de la pandémie et notamment aux sportifs du pays. Par le sport, changeons la vie de nos semblables. Même en cette période dure de pandémie due au Covid- 19 qui touche le monde entier et nous acteurs de l’olympisme, célébrons cet événement, partageons ces valeurs auxquelles nous tenons ». C’est par ces mots que le numéro un du sport olympique malagasy a conscientisé ses homologues.

« L'olympisme énoncé par la Charte olympique se résume en une philosophie de la vie, exaltant et combinant en un ensemble équilibré les qualités du corps, de la volonté et de l'esprit.  Il allie le sport à la culture et à l'éducation. Il se veut créateur d'un style de vie fondé sur la joie dans l'effort, la valeur éducative du bon exemple et le respect des principes éthiques fondamentaux universels.
Le patron du COM ne cesse d’encourager les athlètes de persévérer dans les entrainements pour atteindre les objectifs fixés. « Alefa Olympika, vive la journée olympique », conclut-il.
Recueillis par E.F.

Fil infos

  • Elections consulaires des Français de l’Etranger - La liste Français du Monde revendique une meilleure prise en charge sociale
  • Refondation - « L’espoir d’un véritable renouveau démocratique s’amenuise », dixit la société civile
  • Direction Générale de l’ARAI - Un homme de l’intérieur prend les rênes
  • Premières pluies - Les infrastructures déjà mises à très rude épreuve
  • Actu-brèves
  • HCC - Trois anciennes ministres réintègrent l’Assemblée nationale
  • Concertation nationale - LES RECOMMANDATIONS D’UN CITOYEN D’AMBATONDRAZAKA
  • Détention de Rinah Rakotomanga - Son avocate dénonce des dessous politiques
  • Actu-brèves
  • Loi de finances - Nouveau huis clos des députés

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

A bout portant

AutoDiff