Publié dans Sport

Jeux olympiques de Paris 2024 - Le CIO valide l'arrivée du break dance

Publié le mardi, 08 décembre 2020

A trois et ans et demi des JO de Paris, le Comité international olympique (CIO) a fixé le programme définitif, ajoutant certaines disciplines dont le break dance. Les Jeux olympiques d'été de 2024 s'annoncent déjà différents. L'édition parisienne accueillera, pour la première fois dans l'histoire des JO, une épreuve de break dance, a annoncé, ce début de semaine, le président du CIO Thomas Bach.

 

D'autres sports, pour l'instant jamais vus sur la scène olympique, seront au programme, dont l'escalade, le skateboard et le surf. Cependant, il ne faudra pas attendre 2024 pour voir ses trois nouvelles épreuves olympiques, qui seront aussi organisées lors des Jeux de Tokyo, à l'été 2021.

Exit en revanche l'épreuve du 50km marche homme, qui sera remplacée par une "épreuve mixte", pour l'instant pas précisée. Une parité exacte, jamais observée aux JO, fait partie des objectifs de ces jeux de 2024.

Pour faire place au break dance, une discipline doit cependant disparaître du programme des JO 2024. Il s'agira donc du karaté, qui sera cependant présent à Tokyo. La candidature du billard n'a de son côté pas été retenue.

Pour Madagascar particulièrement, un pays où les danses traditionnelles restent fortement ancrées, le break dance était en vogue vers la fin des années 90. La génération de l’époque l’a découvert dans les halls des institutions, devant les Mairies ou sur les avenues des grandes villes. Cette danse n’a tout de même pas attiré l’enthousiasme des générations 2020, car il a fallu attendre 11 ans après pour que Madagascar ait son premier festival de danse urbaine « Ambony Ambany » en 2019.

E.F.

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Editorial

  • Mission délicate !
    Le second round de la négociation entre la France et Madagasikara sur les îles Eparses devait débuter à Paris dans la journée d’hier 30 juin 2025. La première étape de la rencontre entre les deux délégations avait eu lieu à Antananarivo en 2019, au Palais de Premier ministre à Andafiavaratra, tout juste en début du premier mandat de l’actuel Chef d’Etat Rajoelina Andry, et réélu pour un second mandat en 2023. La délégation malagasy conduite par la ministre malagasy des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika, composée de huit membres, devait rejoindre la capitale française pour être présente au rendez-vous fixé. Huit membres, des experts dans leur domaine respectif, qui ont la lourde tâche de présenter et défendre la cause nationale sur les îles Eparses. Madagasikara revendiquait depuis toujours du moins depuis la Deuxième République, la souveraineté de la Grande île sur ces « îles » tant convoitées et objet de discorde…

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