Publié dans Sport

Nicolas Dupuis - L'équipe plus que jamais soudée

Publié le dimanche, 14 mars 2021

Le sélectionneur de l'équipe nationale malagasy, Nicolas Dupuis est sorti de son silence vis-à-vis des critiques véhiculées à l'endroit de son équipe et en sa personne. Durant la visite du chantier du « Stade Barea », il s'est exprimé pour faire haro aux rumeurs.  Des critiques qui font suite à la publication de la liste des Barea pour la double confrontation contre l'Ethiopie et le Niger les 24 et 30 mars. « Tout le monde n'est pas derrière moi et mes joueurs. Mais nous restons hyper soudés. Il y a des obstacles et des gens malveillants. Mais il faut accepter les critiques même si elles sont parfois injustes ».

 

Le coach national a abordé le nouveau règlement de la FIFA, qui permet au club de retenir les internationaux, dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux :  « Il y a cette loi de la FIFA qui bloque les joueurs comme Bôlida. C'est malheureux, mais c'est comme ça. Heureusement, d'autres seront sur le terrain et ils feront le maximum pour porter les couleurs malgaches ». Lalaina Nomenjanahary, retenu par son club, est victime de cette règle, puisque le Paris FC refuse de libérer le milieu offensif malagasy.

Lui qui est premier responsable du projet Barea Académie ; un projet présidentiel dont il a été désigné par le Chef d'Etat pour assurer les Barea futures générations.

Il en a profité pour annoncer que « le superbe écrin qui sert d'ornement autour du stade sera prêt définitivement en juin ». Une occasion aussi pour lui de parler de ses tournées de détection en provinces : « J'ai récolté les fruits de quelqu'un qui avait créé une académie il y a quelques années. A nous d'en faire autant maintenant ».

E.F.

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Editorial

  • Assez !
    « La maison brûle, nous regardons ailleurs ! ». Par cette célèbre phrase devenue légendaire et historique que Jacques Chirac, alors Président de la République française, devait entamer son discours lors de l’ouverture de l’Assemblée plénière du IV ème Sommet de la Terre le 2 septembre 2002 à Johannesburg, en Afrique du Sud. Le Président français voulait faire allusion sur le danger réel que le monde encourt à cause du réchauffement climatique mais les hommes affichent leur indifférence sinon leurs attentions s’orientent ailleurs. Alors que le pays traverse une zone de forte turbulence, nous les concitoyens, les compatriotes, nous passons le clair de notre temps à nous chamailler. La tempête si puissante risque d’emporter le navire, les passagers à bord, trop occupés à se quereller, ne sont pas conscients du péril en la demeure. Jacques Chirac interpelle les « occupants » de la maison de leur ignorance et leur indifférence…

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