Publié dans Sport

Judo-Mondiaux de Budapest - Fetra Ratsimiziva en attente de validation de son ticket

Publié le vendredi, 11 juin 2021

Les Malagasy sortis au premier tour. Les meilleurs judokas malagasy n'ont pu faire long feu au championnat du monde de Budapest, Hongrie. Plus de 118 pays et 662 athlètes participent au championnat du monde de judo de Budapest, et qui se tient jusqu'au 13 juin. Ce mondial est aussi le dernier pour la qualification aux prochains Jeux olympiques de Tokyo, dans deux mois.

 

Fetra Ratsimiziva, le troisième combattant malagasy a été sorti de la compétition dès son entrée en lice au deuxième tour. Ils étaient 77 combattants dans la catégorie des moins de 81kg dont le titre a été remporté par le premier belge champion du monde, Casse Mathias.

Exempté du premier tour, Fetra Ratsimiziva, dans la catégorie hommes des -81 kg, a foulé le tatami mercredi dernier. Le judoka malagasy de 29 ans, 79ème au classement mondial de sa catégorie, n'a pas résisté aux assauts de l'Azerbaidjanais de 22 ans, Tckaev Zelim, 98ème au classement mondial. Malgré cela, il reste cependant dans la course à la qualification aux Jeux olympiques de Tokyo. En attente de la mise à jour du classement africain, il devrait figurer parmi les 12 meilleurs judokas du continent africain qui doivent valider leur ticket olympique. Lors du dernier résultat, il s'est classé à la 5ème place pour le poids mi-moyen 81 kg hommes aux Championnats d'Afrique  2021.

Aina Laura Rasoanaivo Razafy et Damiella Nomenjanahary dans la catégorie des -63kg sont toutes les deux éliminées au premier tour de la compétition à laquelle 43 athlètes du monde entier ont été alignés pour disputer le titre dans cette catégorie. C'est la Française Clarisse Agbgnenou qui a été sacrée championne du monde.

Tous les judokas malagasy ont été en lice le même jour c'est-à-dire le mercredi 9 juin 2021. Les deux femmes porte-fanions malagasy ont foulé le tatami dans la matinée tandis que l'unique homme malagasy en lice est monté sur le tatami l'après-midi.

Quant à la judokate tuléarois, Damiella Nomenjanahary, de  23 ans, elle a été éliminée par la Capverdienne Sandrine Billet dans la capitale hongroise. Aina Laura Rasoanaivo Razafy, quant à elle, a été dominée par l'Ouzbèke Khojieva Farangiz.

Elias Fanomezantsoa

Fil infos

  • Employés du Groupe Sodiat - « Laissez-nous travailler ! »
  • Immunité - La société civile dénonce la protection accordée aux inspecteurs des impôts et des douanes
  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff