Publié dans Sport

Jeux olympiques de Tokyo - Une édition inédite, sans spectateurs

Publié le dimanche, 11 juillet 2021

Les épreuves des Jeux olympiques de Tokyo se tiendront cette année à huis clos. Une décision prise ce jeudi 8 juillet par les organisateurs, en raison de l'état d'urgence. C'est un nouveau coup dur pour les « Jeux de la pandémie »: les Jeux olympiques se dérouleront du 23 juillet au 8 août à huis clos sur les sites de Tokyo, en raison de la recrudescence du coronavirus dans la capitale japonaise, a annoncé jeudi la ministre des JO, Tamayo Marukawa.

 

Alors que de plus en plus d'appels au report des Jeux olympiques de Tokyo sont faits en raison de la pandémie de Covid-19, il est intéressant de rappeler que les Jeux ont déjà fait l'objet d'annulation en raison d'événements traumatisants dans le passé.

Trois fois, les JO ont été annulés : une fois en raison de la Première Guerre mondiale (en 1916), puis deux autres pendant la Deuxième Guerre mondiale (en 1940 et 1944). Lors de ces deux dernières occasions, autant les Jeux d'été que d'hiver ont été annulés.

« Nous sommes tombés d'accord sur le fait qu'il n'y aura pas de spectateurs dans les sites à Tokyo », a déclaré Mme Marukawa à l'issue d'une réunion avec toutes les parties prenantes aux JO, y compris le Comité international olympique (CIO).

Rien n'a été épargné à ces JO de Tokyo : de leur report d'un an l'an dernier au renoncement en mars de cette année aux spectateurs venant de l'étranger, une décision inédite dans l'histoire des JO là aussi.

Cette annonce intervient quelques heures après la décision du gouvernement nippon de remettre en place un état d'urgence sanitaire à Tokyo à compter de lundi jusqu'au 22 août, un dispositif qui englobera ainsi toute la période des JO, alors que la ville recense actuellement environ 900 cas de Covid-19 par jour.

Madagascar ira aux Jeux olympiques de Tokyo 2020 avec le même nombre d'athlètes qu'en 2016.La Grande île sera représentée par six athlètes évoluant dans quatre disciplines : l'haltérophilie, le judo, l'athlétisme et la natation.

Recueillis par E.F.

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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