Publié dans Sport

IFFHS - Un Malagasy dans le 11 type des CAF jeunes  2021

Publié le vendredi, 07 janvier 2022

L'International Federation of Football History and Statistics (IFFHS) a communiqué la composition de l'équipe type des jeunes joueurs africains de l'année 2021. Cette formation comprend un Malagasy, Mathias Randriamamy, le gardien de but des Barea de Madagascar, qui évolue au sein de la formation parisien, le PSG Pro. Randriamamy reçoit sa première convocation en équipe de Madagascar le 22 octobre 2020, pour les matches de qualification à la Coupe d'Afrique des Nations 2021 contre la Côte d'Ivoire. Il fait ses débuts avec la sélection le 10 octobre 2021, titularisé par le coach Eric Rabesandratana pour une victoire 1-0 en éliminatoires de la Coupe du Monde contre la RDC au stade Barea Mahamasina.

Le 11 type des jeunes africains est composé des joueurs suivants : Mathyas Randriamamy (Madagascar/Paris Saint-Germain U19), Issa Kaboré (Burkina Faso/KV Mechelen/Troyes), Odilon Kossounou (Côte d'Ivoire/Club Brugge/Bayer Leverkusen), Sinaly Diomandé (Côte d'Ivoire/Lyon), Saïdou Sow (Guinée/AS Saint-Etienne), Anis Ben Slimane (Tunisie/Bröndby IF), Pape Matar Sarr (Sénégal/Tottenham Hotspur/FC Metz), Aguibou Camara (Guinée/Lille B/Olympiacos), Amad Diallo Traoré (Côte d'Ivoire/Manchester United), Lassina Traoré (Burkina Faso/Ajax Amsterdam/Shakhtar Donetsk), Kamaldeen Sulemana (Ghana/Nordsjaelland/Stade Rennais).

Rappelons que Randriamamy est passé par le centre de formation du Paris FC, avant de rejoindre le Paris Saint-Germain en 2016. Il signe son premier contrat professionnel avec le club, le 16 août 2021, après une saison où il a figuré à plusieurs reprises sur les feuilles de match, en Ligue 1 et en Ligue des champions. Il reste toutefois encore assez loin d'une place de titulaire au PSG, dans un secteur quelque peu saturé, avec en lice Navas, Donnarumma, Rico, Letellier et Franchi (et même Bułka, Areola et Innocent (en prêt mais toujours liés au club pour la saison).

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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