Publié dans Sport

Pétanque - Sanction maintenue pour Madagascar

Publié le jeudi, 19 mai 2022


Organisés en l’absence de Madagascar qui a été interdit de compétition pour des raisons disciplinaires, les championnats du monde doublettes et tête-à-tête, viennent de s’achever à Karlslunde, Danemark, la semaine dernière.
Malgré la régularisation de la situation par l'Etat malagasy sur les impayés du Mondial 2021 en Espagne, à la Fédération internationale de pétanque quelques semaines avant le rendez-vous de Danemark, cela n'a pu éviter le maintien des sanctions. Pour preuve, l'absence de la Grande île au championnat du monde.  En tout cas, la fédération des sports boules malagasy ne s'est pas exprimée sur la suite. Et pourquoi Madagascar restait-il à quai malgré les promesses de négociations avec l’instance internationale ? Pour les observateurs, c'est la suite logique de la sanction annoncée le dimanche 13 mars, par la Fédération internationale de pétanque et des Jeux provinciaux dans une lettre officielle sur l’exclusion de Madagascar de toutes les compétitions internationales pendant au moins un an.
La Grande île ne pourrait-il donc pas participer également au Mondial en triplettes constituées au Bénin, en décembre ? Le pire des cas, Madagascar ne jouera pas non plus aux Jeux des îles de 2023, qui se dérouleront dans le pays.

Pour rappel des mondiaux de Danemark, les différentes compétitions ont mis fin à la belle époque de gloire des Français.
Résultats : un nouveau titre en individuel pour la Suisse, un doublé pour la Thaïlande en mixte, le sacre pour Rizzi et Cocciolo et deux titres pour l’Espagne avec l’individuel masculin et la doublette féminine.

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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