Publié dans Sport

Préparation CAN 2023 - Madagascar et le Congo Brazzaville se neutralisent

Publié le dimanche, 25 septembre 2022


Pas de vainqueur. Le match amical opposant l’équipe malagasy, les Barea de Madagascar, et Congo-Brazaville s'est terminé sur un score de parité de 3 buts partout. Une rencontre qui entre dans la fenêtre FIFA du mois de septembre lors du tournoi « Maroc Capitale du football africain ». Pas moins de neuf pays africains sont en stage à Casablanca dans le cadre de leur préparation pour la qualification à la CAN 2023 de Côte d’Ivoire. Madagascar prépare son match contre le Ghana au mois de mars 2023. Les pays participants dans ledit tournoi s’affrontent dans des matchs triangulaires.
Malmenés au début du match, les Barea se sont ressaisis pour reprendre la situation en main, dans la soirée du samedi 24 septembre au stade El Bachir Mohammedia Casablanca, Maroc.
« Au début on a perdu en milieu de terrain mais ensuite nous avons fait un match extraordinaire.  A l’issue de cette rencontre on a pu aussi conclure que le football malagasy évolue et on peut donc dire qu’on peut aussi s’appuyer sur les locaux », explique le coach Dupuis.

Lors des 25 premières minutes du match, les Congolais ont déjà distancé les Barea de deux buts d’écart.
Mais Voavy Paulin réduit le score à la 27ème. En effet, les hommes de Nicolas Dupuis, assez maladroits dans le jeu et devant le but, réagissent et 2 buts à 1) à l’avantage des Diables rouges.
Au retour des vestiaires, les Barea reviennent de loin et égalisent à la 60ème grâce à une réalisation d’Ibrahim Amada (2-2), avant que le Congo ne repasse devant à la 69ème minute (3-2). Une erreur de la défense congolaise à la 85ème minute offre un penalty aux Barea, transformé par Marco Ilaimaharitra. Le score au tableau reste inchangé jusqu’au coup de sifflet final.
Elias Fanomezantsoa



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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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