Publié dans Sport

Qualification CAN 2025 - Hakim Abdallah forfait contre la Tunisie et Les Comores

Publié le vendredi, 30 août 2024

L’international malagasy, qui évolue au poste d’attaquant au club de Dinamo Bucarest, est forfait pour les deux prochaines rencontres qui opposeront les Barea de Madagascar et les Aigles de Carthage, prévues à Rades, Tunisie le 5 septembre prochain et contre les Cœlacanthes des Comores le 9 septembre, toujours en Tunisie.
En effet, Hakim Abdallah a été victime d’une luxation à l’épaule et est sorti du match à la 18e minute lors du match opposant son équipe et le FC Voluntari (1-0) durant la coupe de Roumanie disputée le mercredi 28 août dernier. Le Bucarest Dinamo croisera le leader du classement, le FC Universitatea Cluj, pour le compte de la 8e journée de la Super Liga ce lundi 2 septembre.

Pourtant, aucune annonce officielle n’émane du médecin du club certifiant son indisponibilité. En tout cas, le sélectionneur national Romuald Rakotondrabe a encore six joueurs sur sa liste de réserve avec deux attaquants, à savoir Carolus Andriamahitsinoro et Gérard Pontgerard.
Ce dernier, qui évolue avec l’AS Brestoise, en Régional 2 ou 9e division française, n’a pas pu honorer sa première convocation en Afrique du Sud contre les Comores et le Mali lors de la deuxième et troisième journées de la qualification à la Coupe du Monde 2026.
Quant à Carolus, 35 ans cette année, il vient de s’engager librement avec un nouveau club d’Al Rawdhah qui évolue en D3 en Arabie Saoudite après une grosse saison réalisée avec Al Kawkab le 30 août dernier. Rappelons que cet attaquant malagasy est à sa 48e sélection avec 11 buts réalisés avec l’équipe nationale.
« Bien que l’absence de Hakim Abdallah ne soit pas encore officielle, il est impératif pour nous d’aller de l’avant. Nous avons encore deux choix entre les deux attaquants Carolus et Julien », déclare le coach Romuald Rakotondrabe.
L’attaquant malagasy de 26 ans sera donc incertain pour le prochain regroupement des Barea qui débutera ce lundi 2 septembre en Tunisie. Rappelons que les locaux sont déjà sur place en attendant l’arrivée des expatriés d’Europe.
Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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