Publié dans Sport

Coopération sportive Madagascar-Maroc - Le karaté comme premier bénéficiaire

Publié le jeudi, 24 octobre 2024
Le ministre des Sports Moustapha Abdulah Marson s’illustre en signant une nouvelle convention sportive avec le Maroc Le ministre des Sports Moustapha Abdulah Marson s’illustre en signant une nouvelle convention sportive avec le Maroc

Le ministre des Sports réalise un pas décisif dans le cadre de la diplomatie sportive en concluant une convention entre la Fédération royale marocaine de karaté & DA et la Fédération de karaté-do de Madagascar.  Ce partenariat stratégique vise à renforcer le développement du karaté à Madagascar, en offrant aux athlètes malgaches l’opportunité de bénéficier de formations de haut niveau, d’échanges de compétences et d’une participation à des compétitions internationales. Cet accord reflète l’engagement du Maroc à soutenir l’essor du karaté malgache, tout en consolidant les liens de coopération sportive entre les deux nations, contribuant ainsi à l'influence grandissante de Madagascar sur la scène sportive.
Dans le cadre d'une nouvelle stratégie de développement du sport, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abdulah Marson Moustapha, a dévoilé hier au Palais des Sports de Mahamasina des projets de formation issus de la coopération bilatérale entre Madagascar et le Maroc. Les premiers à en bénéficier seront les techniciens et kinésithérapeutes du football. Subventionnés par le Maroc, ils participeront à une formation de haut niveau au centre Mohamed V, qui débutera en novembre et durera entre quinze et vingt jours.
ll a également évoqué d’autres collaborations avec des bailleurs belges qui avaient construit des centres de sport-études au Sénégal. Les autres disciplines en bénéficieront ultérieurement.
E.F.

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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