Publié dans Sport

Judo - Grand Slam de Paris 2025 - Déception pour les judokas malagasy

Publié le lundi, 03 février 2025
La judokate malgache Laura Rasoanaivo en plein effort face à l'Américaine Melissa Myers lors de leur confrontation au premier tour du Grand Slam de Paris 2025 La judokate malgache Laura Rasoanaivo en plein effort face à l'Américaine Melissa Myers lors de leur confrontation au premier tour du Grand Slam de Paris 2025

Le Grand Slam de Paris, événement phare du judo mondial qui se déroule aux Arènes de Bercy, a été le théâtre de désillusions pour les judokas malagasy Laura Rasoanaivo et Lova Mahaisoa Randrianasolo.

Laura Rasoanaivo a été éliminée dès le premier tour par l'Américaine Melissa Myers. Malgré une préparation tactique et psychologique rigoureuse, la judokate malagasy n'a pas réussi à s'imposer, visiblement perturbée par une nouvelle règle d'arbitrage qu'elle peine à comprendre.

« Bien que j'aie fait des progrès tactiques et psychologiques et que j'aie eu l'avantage lors de ce combat, je subis une défaite à cause d'une "nouvelle règle d'arbitrage" qui me laisse perplexe même maintenant », a déclaré Laura Rasoanaivo, déçue mais déterminée à rebondir. « J'accepte, ça me déchire le cœur, mais je me rattraperai demain pendant le stage de 4 jours.»

Lova Mahaisoa Randrianasolo a également connu une défaite prématurée face au Brésilien Luan Almeida. Comme sa compatriote, elle n'a pas réussi à trouver la faille chez son adversaire.

Malgré ces revers, les deux athlètes ne se laissent pas abattre. Ils ont entamé hier un camp d'entraînement à l'Institut National du judo, déterminés à tirer des leçons de leurs erreurs et  revenir plus forts.

Le Grand Slam de Paris est une compétition prestigieuse qui réunit les meilleurs judokas de la planète. Pour les Malagasy, il représente une étape importante dans leur préparation pour les échéances à venir.

Elias Fanomezantsoa

 

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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