Publié dans Sport

Stade Barea - Le match contre le Centrafrique pourrait se délocaliser au Maroc

Publié le jeudi, 06 février 2025

L’homologation par la CAF toujours en suspens. L'attente concernant l'homologation du stade Barea de Mahamasina par la Confédération africaine de football (CAF) se poursuit. Alors que les experts de la CAF sont attendus dans le pays après le 10 février pour inspecter les améliorations apportées au stade, leur visite ne garantit pas pour autant l'homologation.

L'incertitude plane toujours sur la capacité du stade Barea à accueillir le match crucial contre le Centrafrique, prévu initialement le 17 mars, dans le cadre de la 5e journée des qualifications pour la Coupe du Monde 2026. 

Selon des sources proches de la Fédération malagasy de football, un plan B a été mis en place : le match se jouera finalement à Casablanca, au Maroc. "Un accord a déjà été conclu entre les deux fédérations", ont affirmé ces sources.

La CAF n'impose pas de délai spécifique pour l'homologation d'un stade, mais le processus est rigoureux et dépend de nombreux facteurs, notamment l'état du stade, les travaux à réaliser et la conformité aux normes internationales de sécurité et d'installations.

L'homologation du stade Barea est d'autant plus incertaine en raison des travaux de réhabilitation en cours. L'installation de tourniquets et l'aménagement de nouveaux gradins de 3000 places sont en cours, ce qui retarde la finalisation des travaux.

Le match retour entre Madagascar et le Centrafrique est programmé pour le 1er septembre. Il est fort probable que le stade Barea puisse enfin accueillir son premier match international à cette occasion, à condition que les travaux soient terminés et que l'homologation soit obtenue.

Malgré ces incertitudes concernant le stade, Madagascar reste en course pour la qualification à la Coupe du Monde 2026. L'équipe occupe actuellement la 3e place du groupe I avec 7 points, à seulement deux points des Comores et du Ghana, qui comptent 9 points chacun après quatre journées.

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • L’ordre public
    Un précieux bien public à protéger, un trésor national à haute valeur ajoutée en somme, un patrimoine immatériel à sauvegarder, l’ordre public caracole en tête des priorités qu’il faille avoir sous contrôle en premier lieu. Dans un pays où l’ordre public est absent en ce sens qu’il glisse vers l’anarchie, il ne peut pas y avoir une chance d’aboutir à la réussite. Dans un pays où le trouble dans tous ses états prédomine, la sérénité part en fumée et la confiance disparait. L’ordre public, la sérénité et la confiance, trois en un, garantit le développement. Comme tout trésor, l’ordre public en abrégé OR car il s’agit réellement de l’or, se cherche et se préserve précieusement.

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