Cette dernière qui affirme dans sa lettre adressée à cet ex-président, en théorie, qu’elle possède des preuves et des témoignages de ces méfaits. Alors que la Fédération internationale hausse le ton, le ministère de la Jeunesse et des Sports malagasy se mure dans le silence. Une voix autorisée dans ce département avance cependant que vaut mieux attendre la décision du conseil de discipline de la Fédération internationale avant de se positionner. Une léthargie ministérielle constatée également face aux récriminations des uns et des autres sur le déroulement du championnat de Madagascar en cours. En effet, ce sommet national se joue actuellement avec des joueurs ne possédant pas de licence ou plutôt la licence n’est pas exigée pour y prendre part. L’appellation « open » est ainsi plus appropriée à cette compétition que le terme championnat. Aucune Fédération nationale digne de ce nom ne laissera pas aux joueurs non licenciés de prendre part à un championnat de Madagascar, la plus prestigieuse des compétitions.
Une aberration autorisée pourtant par le ministère dont le silence équivaut à un consentement…
Rata