Dossier

Si l’on doit donner un bilan, il se tourne plutôt du côté optimiste, annoncent les organisateurs de cet évènement phare de l’économie locale. D’après les chiffres, on a enregistré un record en termes d’affluence. On recensait entre vingt et trente mille visiteurs durant les trois premiers jours sans compter la journée de clôture où le public était à son comble. En effet, un gros travail de communication sur les conférences a été effectué afin d’optimiser au maximum l’impact des débats et discussion sur les thématiques que nous nous sommes efforcés d’améliorer en qualité. Notamment, en termes d’environnement et de technologie…
Vitrine incontournable du microcosme économique malagasy, la FIM, à sa dix-septième édition, accueille des centaines d’exposants tout aussi étonnants les uns les autres. La deuxième journée de la Foire, hier, a vu certaines innovations se démarquer aux yeux d’un public venu en nombre. « On veut être une vitrine du respect de l'environnement, de la production locale et de la qualité », souligne un de ces innovateurs.
La propagation du « Rôrô » est devenue incontrôlable, dans les rues, les écoles et les lieux de spectacles. La drogue est devenue une tendance pour la jeunesse mentalement faible. Au début, les narcotrafiquants les distribuent gratuitement pour rendre les jeunes dépendants. Etant dans le besoin, ces derniers commencent à voler jusqu’à commettre des crimes pour s’en procurer quelques doses. Certains jeunes ont recours à une cure de désintoxication après avoir été prisonniers de leur passion dangereux pendant des années, tandis que d’autres voient leurs corps et âme mourir à petit feu. Pour connaitre leur environnement, nous avons consulté des …
Il est 3 heures et demie du matin à Manankasina, une petite bourgade du nord d’Antananarivo, dans la Commune de Merimandroso, District d’Ambohidratrimo, heure à laquelle la plupart des villageois sont encore confortablement dans les bras de Morphée, qu’elle s’active déjà devant la marmite sur un feu de bois pour préparer le petit déjeuner avant d’attaquer une longue journée dans les champs.

Dossier - Antananarivo et ses maisons hantées

Publié le dimanche, 16 avril 2023
Une maison hantée est une demeure réputée pour être occupée par des esprits, fantômes, ou d'autres forces surnaturelles, ou encore un lieu d'habitation où se produisent des phénomènes surnaturels ou paranormaux inexpliqués. Une demeure ancienne, une histoire tragique, un immeuble construit sur un ancien cimetière, Antananarivo possède ses lots de mystères et de phénomènes paranormaux et presque chaque quartier à sa maison hantée. Voici quelques-unes de ces histoires racontées par des témoins qui sont des locataires ou d'anciens propriétaires.
Aina, de son vrai nom Andrianantenaina Tolotriniaina, pratique la chiropratique depuis de nombreuses années. Cet homme, originaire d’Ambatondrazaka, a hérité son talent de son grand-père qui pratiquait aussi le massage thérapeutique dans la Région d’Alaotra. Aina est arrivé à Antananarivo en 2007 et depuis, de nombreux patients ont été guéris par ses mains magiques. « Mon cabinet est ouvert de 6h 30 à 19h. Ici, personne ne rentre bredouille et insatisfaite. Je n’ai jamais reçu de reproches de la part de mes clients depuis que j’exerce ce métier. La plupart d’entre eux ont même demandé s’ils peuvent revenir tous les…
Nous vous emmenons dans l'univers des masseuses de Capitale. Il en existe deux catégories. Il y a d’une part celles qui, sous le couvert du massage conventionnel, sont en réalité des dispensatrices de plaisir sensuel, sinon le sexe, et qui se passe dans une chambre d'hôtel baptisée familièrement « salon de massage ». C'est le cas de Tania, qui a pris ici un nom d'emprunt, et qui n'a pas voulu qu'on la photographie. D'autre part, celles qui sont des professionnelles, qui font du massage relaxant et plutôt thérapeutique. C'est le cas de la jeune Manampisoa, qui travaille dans un institut…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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