Un voyage afin d’oublier la dure réalité à laquelle les filles sont exposées au quotidien, mais aussi une opportunité d’envisager un meilleur avenir en agissant concrètement. L’extrême pauvreté et la recherche à tout prix d’opportunités économiques sont les principales causes de l’exploitation des enfants dans les pays en développement. Malheureusement, Mada-gascar ne fait pas exception et est évidemment concerné par ce problème. Plusieurs actions de lutte contre le travail infantile ont été ainsi mises en place par le Gouvernement et les organismes humanitaires du secteur privé.

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La journée de la Fête nationale était assez turbulente du fait des accidents qui l'ont marquée. Les statistiques provisoires du service des urgences de l'HJRA font état de 2 morts et plus de 150 consultations, du moins jusque dans la matinée du 26 juin. Comme à l'accoutumée, les accidents de circulation ont terni les festivités. Hier matin, un piéton a perdu la vie lorsqu'un véhicule non identifié l'a renversé en pleine ville. La Police l'a transporté d'urgence à l'HJRA Ampefiloha où le malheureux a finalement succombé des suites de ses blessures. Le véhicule en cause a tout simplement disparu et personne n'a pas pu l'identifier.

 

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Célébration dans la joie ou la modestie, selon les moyens de chaque ménage. Le 59e  anniversaire de l'Indépendance de Madagascar a été une occasion, pour la majorité des malagasy, de faire la fête. Certains ont alloué un budget spécial, allant jusqu'à 200 000 ariary, pour l'achat de jouets, lampions et repas. D'autres ont laissé de côté les « dépenses excessives » et se sont focalisés sur les réjouissances. « Nous avons concocté un modeste repas, comme celui de dimanche, avec du riz et de la viande avec achards et de la salade de fruits au dessert.

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mercredi, 26 juin 2019

 L'Armée, l'avant-garde

La fête de l'indépendance est avant tout la Fête de l'Armée. Le retour de Madagasikara à l'indépendance coïncide avec la création de l'Armée malagasy. A la veille de la date historique du 26 juin 1960, jour où le pays recouvre de nouveau sa souveraineté, l'Armée malagasy vit le jour. Intimement liée à la naissance de l'Etat malagasy, l'Armée est le symbole de la souveraineté et de la fierté nationale. On ne peut pas concevoir une République sans une Armée. Par ricochet, une fête nationale sans un défilé militaire est cocasse. En tout cas, il s'agit d'une tradition universellement pratiquée.

 

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 Récemment, le ministère de la Communication et de la Culture a instauré des rénovations à la « Televiziona Malagasy » TVM, depuis les moyens techniques jusqu'aux ressources humaines, en passant par l'habillage des studios. Et pourtant, l'image de la chaîne nationale est de nouveau remise en question lors de la fête de l'Indépendance, notamment durant les retransmissions en direct. « Je n'ai jamais suivi une retransmission en direct aussi ridicule que celle du défilé militaire au stade de Mahamasina. Les commentateurs parlent pour ne rien dire.

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26 juin 1960 - 26 juin 2019. Madagascar célébrait hier le cinquante-neuvième anniversaire du retour de son indépendance et celui de l'Armée malagasy. Une fête marquée notamment par le traditionnel défilé militaire tenu au Stade municipal de Mahamasina. D'une ampleur sans pareille depuis plusieurs éditions, cette parade marque le renouveau de l'armée de l'air en particulier et de l'Armée malagasy en général. Dès le milieu de la matinée, de milliers de spectateurs munis de drapeaux ont envahi les gradins du stade pour cet événement. Si traditionnellement, le défilé se tient en première partie de journée, cette fois-ci, il s'est tenu en début d'après-midi. Débutant comme prévu à quatorze heures pétantes, la parade a duré deux heures, chronomètres en main.

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« Aujourd'hui le Rwanda est l'un des pays à avoir réussi à devenir un pays émergent sur le Continent africain. La clé de cette réussite réside dans la stratégie du Président Paul Kagamé qui est devenue une référence en matière de plan de développement. En 25 ans, le Rwanda a connu une transformation économique révolutionnaire. ». Ces paroles du Président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina, à l'attention de Paul Kagamé, ont marqué la conférence de presse conjointe entre les deux Chefs d'Etat, hier dans la soirée, au Palais d'Etat d'Iavoloha.

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mercredi, 26 juin 2019

LA UNE DU 27 JUIN 2019

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

A bout portant

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