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Février, le mois de l’amour. La société « Baolai » ne manque pas de fêter comme il se doit ce 2ème mois de l’année 2020. « A la demande générale, les prix cassés sur nos Smart Tv et téléviseurs Led continuent jusqu’au 29 février prochain. Ils sont disponibles entre 19 et 75 pouces, tous garantis 1 an, dans la limite des stocks disponibles. Par exemple, la Smart TV Changhong 49" est à 1 050 000 ariary jusqu’ à la fin de ce mois. En bonus, il y a un nouvel arrivage de panneaux solaires mono et polycristallins et de convertisseurs.

Dans le temps ! L'avancée des travaux de réhabilitation du stade de Mahamasina ne connaîtra aucun défaut de calendrier, d'après les techniciens, contrairement aux rumeurs véhiculées par les détracteurs du régime. A l'instar du Rovan'Antananarivo, la rénovation de ce stade emblématique de la Capitale, qui portera désormais l'appellation de stade « Barea », s'inscrit parmi les « Velirano » du Président Andry Rajoelina pour la promotion du sport. Au cours d'une descente sur les lieux, le Chef de l'Etat lui - même a pu constater l'évolution de ce grand chantier entamé au mois de janvier dernier.

 

L’autoproclamé ambassadeur, Ny Rado Rafalimanana, fera face au juge d’instruction du tribunal d’Anosy aujourd’hui. Hier, il a été notifié par la Gendarmerie au Toby Ratsimandrava de l’existence de cette affaire d’abus de confiance qui lui a valu un mandat d’amener devant le juge. L’existence de ce document judiciaire signifie que cet opérateur basé à Dubaï, et qui vient d’être frappé d’une Interdiction de sortie du territoire national, est recherché par le Tribunal qui a sollicité l’aide des Forces de l’ordre pour que l’individu soit présenté aux autorités judiciaires. Ny Rado Rafalimanana s’est présenté dans la matinée d’hier à Andrefan’Ambohijanahary d’où il a été emmené au Tribunal qui, de son côté, lui a fixé un rendez-vous ce jour.

 

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LA UNE DU 18 FEVRIER 2019


Un endroit stratégique attirant bon nombre de visiteurs, dont les citadins et les habitants des Régions. Cette fréquentation massive pourrait s’expliquer par l’existence de l’aire de jeux pour les enfants dans le jardin d’Ambohijatovo. Ce dernier se trouvait pourtant dans un état chaotique ces dernières années, faute d’entretien. Raison pour laquelle le ministère de la Communication et de la Culture (MCC), dont le ministre, les Secrétariat général et le Cabinet, a choisi la rénovation des lieux pour la 12ème édition du « Tagnamaro, andron’ny olom-pirenena », samedi dernier. La peinture de la clôture en acier aux environs du portail principal fait partie des travaux entrepris durant cette journée de mobilisation citoyenne. A cela s’ajoute la peinture et la rénovation de l’aigle, symbole dudit jardin. Désormais, cet endroit reflète une image plus attrayante et entretenue.

Diverses infrastructures réhabilitées

Outre le jardin d’Ambohijatovo, les employés des Directions régionales auprès du MCC se sont répartis dans plusieurs localités pour leur participation au 2ème « Tagnamaro » de cette année. Certains ont peint, réhabilité ou assaini des infrastructures telles que des écoles primaires publiques, des marchés ou autres places publiques. Pour la Direction régionale de la Communication et de la Culture (DRCC) Androy, l’aménagement de l’aéroport d’Ambovombe a été au programme, avec une mobilisation massive. Les citoyens d’Atsimo- Andrefana ont, quant à eux, choisi l’assainissement et la création d’espace vert à la Place de la République, située à Toliara.
Depuis la première édition du « Tagnamaro » en mars 2019, divers changements ont pu être constatés dans les lieux où se sont déroulées les mobilisations citoyennes. Outre les employés des ministères et diverses institutions, des membres d’associations, ONG, partis et autres entités se sont donné la main pour la mise en œuvre des travaux communautaires. « L’on constate que de plus en plus de citoyens se sont imprégnés de l’idée du "Tagnamaro", qu’est d’apporter du changement à travers le patriotisme et plus de responsabilité. Pour sa part, le ministère va améliorer la tenue de cette journée de mobilisation afin d’avoir plus de résultats », avance le ministre Lalatiana Andriatongarivo…

Recueillis par Patricia Ramavonirina

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Motion bidon !

Une soixante-dizaine de députés aurait apposé leurs griffes en vue d’une motion de censure contre le Premier ministre, chef du Gouvernement, Ntsay Christian. Le mode conditionnel est formellement indiqué dans ce genre d’intox qui fait le choux gras de certains quotidiens en mal de crédibilité. Comme il fallait s’y attendre, l’avalanche de démentis s’impose pour balayer d’une seule grosse pelle la dérive. Le titulaire du perchoir de Tsimbazaza n’était allé sur le dos de la cuillère pour le dénoncer. Il n’y avait eu, selon Mme Christine Razanamahasoa,aucune tentative de racolage de signatures pour une motion de censure ni dans les travées de l’auguste Assemblée ni dans l’enceinte du site. Il s’agit d’une pure invention de certains internautes, une motion bidon, dont l’objectif ne peut être quede créer des vagues. Une telle démarche n’aura aucune chance d’aboutir à Tsimbazaza dans la mesure où l’unité de la majorité IRD, proche du pouvoir, reste intacte et immuable. Une majorité solide et impénétrable ! Certains acteurs politiques malades de la nostalgie des « oignons d’Egypte » habitués à avoir affaire à une majorité frivole cherchent par tous les moyens à déstabiliser le régime IEM. Ainsi, ils déversent par le truchement desréseaux sociaux des informations fantaisistes.

La velléité de balancer une information bidon sur motion de censure relance le débat sur le concept de liberté d’expression et celui de la cybercriminalité relatif à leur usage à bon escient et afin de garantir la paix sociale.

L’Assemblée des peuples français, réunis en Assemblée nationale votait en 1789 « La Déclaration des droits de l’Homme et des Citoyens ». L’Art. 11 stipule que  « La libre communication des pensées et des opinions est un droit le plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire et imprimer librement… ».
Deux siècles plus tard, l’Assemblée générale des Nations unies qui s’était largement inspirée de la  Déclaration de 1789, adoptait le 10 décembre 1948 par une forte majorité « La Déclaration Universelle des droits de l’Homme » (DUDH). L’Art. 19 mentionne « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression… ». Et la Constitution malagasy de la IV ème République fait sienne de ce droit inaliénable de l’Homme. Dans l’Art. 10 est écrit « Les libertés d’opinion et d’expression… sont garanties à tous ».

Quand on évoque la liberté d’opinion et d’expression, on touche ainsi à un domaine névralgique de la liberté de l’homme. C’est l’un des droits fondamentaux de l’Homme. N’empêche que l’usage abusif de ce droit remet, en permanence, sur le tapis le débat. Faudrait-on imposer des mesures dissuasives ?
La loi sur la cybercriminalité a été déjà promulguée. Mais l’application laisse certains observateurs un peu sceptiques. Des vies de couple, de famille, de l’honorabilité des gens et de la sérénité dans la société sont dangereusement exposées par les effets nuisibles de la cybercriminalité. Le juriste Imbiky Herilaza, expert en la matière, suggère qu’on réfléchisse à améliorer le dispositif de loi qui existe. Il fait appel à la mobilisation de tous pour endiguer ensemble le mal.
La bataille est loin d’être gagnée. Il faut agir avec la plus grande fermeté tout en préservant le principe fondamental du droit de l’homme et mettre le holà à ce genre de motion bidon.
Ndrianaivo

Deuxième importante participation pour cette année 2020. Plus de 350 employés du groupe SODIAT, emmenés par Eric Razanamparany, directeur général, se sont mobilisés samedi dernier à Andakana pour une action environnementale. Après le lancement officiel de la campagne du reboisement national à Ankazobe en janvier où le Groupe SODIAT s’est fait représenter massivement, il a encore affirmé son engagement en faveur de l’environnement à travers un reboisement en mettant en terre 1 350 jeunes plants à cette journée du samedi.

Il s’agit du deuxième passage à Andakana pour un reboisement. En 2018, les employés du groupe SODIAT s’y sont déjà dépêchés pour accomplir cette action citoyenne. Samedi dernier a ainsi été le moment de suivre de près l’évolution des plantations pour que les efforts déployés aboutissent. Selon Razakasolo Herisoa, directeur de coordination auprès du groupe, nombreuses sont les actions sociales à entreprendre cette année. Les propositions des employés vont notamment être priorisées et évaluées par la Direction pour les rendre réalisables.

Rappelons que dans le cadre de ses actions sociales, le groupe SODIAT organise déjà annuellement une opération de circoncision gratuite au profit des employés.
K.R.

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Itaosy - Un taximan assassiné

La tentative chez un bandit pour voler un taxi 4L, a été fatale pour le chauffeur, un père de famille d’une cinquantaine d’années. Ce drame est survenu vers 20h30 près de la localité d’Antsavatsava à Itaosy. L’agresseur, qui  s’est comporté comme un passager ordinaire, a opéré seul. Il a poignardé la victime dans la région de l’oreille, occasionnant une hémorragie grave, se terminant ainsi sur la mort du concerné. Sitôt après son forfait, l’assassin s’est enfui, non avec la R4, encore moins les recettes, mais avec le téléphone portable du conducteur. Pourtant, le chauffeur n’a pas succombé sur le coup mais plutôt quelques moments après son admission, d’abord dans un centre de soins à Itaosy, enfin à l’HJRA Ampefiloha où il a rendu l’âme.

D’après l’un des membres de sa famille, le malheureux, peu de temps après que le bandit l’eut poignardé, a pu encore joindre sa femme grâce au téléphone d’un témoin pour lui raconter les faits. Il faut préciser que des curieux  ont pu voir la scène et tenté de secourir la taximan, en train d’agoniser. Heureusement aussi, une patrouille de police était passée.  Les témoins n’ont donc aucun mal pour demander l’aide des policiers, qui s’étaient débrouillés pour trouver les moyens pour conduire  la victime à l’hôpital.

Les proches du taximan sont convaincus de la tentative chez  l’agresseur pour s’emparer du véhicule. « Je ne doute pas de cette situation et  je crains que le tueur n’eût des complices. A preuve, il a demandé au chauffeur de le déposer à Antsavatsava, un endroit isolé et où il n’y avait que des cimetières. C’est là que ses complices auraient dû les attendre, sans doute pour réaliser leur funeste plan, et peut-être aussi l’assassiner  après cela. Mais sentant rapidement  qu’il s’agissait d’un  piège, le conducteur a refusé d’y aller. C’est ce qui a poussé son passager à le tuer. D’ailleurs, c’est la victime elle-même qui l’a raconté avant que la mort ne l’ait emportée », confie cette source familiale.

Notons que le suspect a pris ce taxi aux 67ha. Il semble qu’une fois arrivés à Itaosy qu’il a changé subitement d’avis pour proposer ensuite au taximan de continuer jusqu’à Antsavatsava. Actuellement, l’affaire est entre les mains de la Police, qui n’a pas encore voulu divulguer aucun autre complément d’information là-dessus, secret de l’enquête oblige.  Néanmoins, les enquêteurs seraient en train de dresser un portrait-robot du  suspect. La victime avant de mourir, aurait pu décrire son signalement, du moins selon l’information.

Mais vers 23h vendredi, deux autres personnes ont été également les cibles des bandits, qui les ont attaquées au couteau. Toutes ces horreurs, sans parler du récent faux-braquage survenu à Ankany Sambatra, prouvent donc que l’insécurité refait surface dans la localité d’Itaosy, exactement comme il y a quelques années auparavant, et ce,  en dépit des énormes efforts des Forces de l’ordre pour sévir contre ces gangs.
Franck Roland

Le ministère des Affaires étrangères de la République de Madagascar, par le biais de son service communication, a rendu public un communiqué, hier,  dans lequel il se réserve le droit de saisir la Justice contre Ny Rado Rafalimanana, accusé implicitement d’usurpation de titre.

L’ « Intergovernmental collaborative action fund for excellence » ou ICAFE ainsi que le « World Fund for development and planning » ou WFDP, dont Ny Rado Rafalimanana prétend être leur ambassadeur, est inconnu au bataillon des organisations non gouvernementales recensées par le MAE. Ces deux organisations «  ne sont nullement affiliйes aux Nations unies », précise d’emblée le ministère d’Anosy, dans sa missive. Et ce, en réaction aux allégations récentes du président de Ny Rado Group. « Aucune des deux organisations ne figure ni dans la liste des organisations intergouvernementales, agences, institutions, organes, dйpartements et bureaux affiliйs aux Nations unies ni dans la liste des Organisations non gouvernementales йtrangиres accrйditйes а Madagascar par le ministиre des Affaires йtrangиres », selon la mise au point du MAE.

Dans son communiqué, le MAE soutient par ailleurs que, contrairement aux prétentions de Ny Rado  Rafalimanana, « aucune procйdure officielle de demande d’йtablissement d’un Accord de siиge portant йtablissement d’une organisation intergouvernementale ou d’une Organisation non gouvernementale йtrangиre а Madagascar n’a йtй engagйe au niveau du ministиre des Affaires йtrangиres par Monsieur Ny Rado Rafalimanana ». Ainsi, le dossier du « World Fund for Development and Planning » ne figure pas dans la base de données des Organisations non gouvernementales étrangères légalement constituées auprès du ministère des Affaires étrangères.

En outre, le MAE soutient que le prétendu « laissez-passer diplomatique », fourni par l’organisation « World Fund for Development and Planning », à Ny Rado Rafalimanana «  ne correspond nullement aux standards internationaux et ceux de Madagascar », et précise que le ministère « n’a jamais йtй notifiй de l’existence de ce type de passeport ». Aux yeux des gens du MAE, les documents présentés par Ny Rado Rafalimanana sont donc considérés « comme nuls et non avenus et ils ne sont donc pas opposables au Gouvernement malagasy ». Et ce, étant donné que « World Fund for Development  and planning » n’a point d’existence juridique vis-à-vis des lois et règlements de la République de Madagascar.

Dans ce contexte, le MAE précise que Ny Rado Rafalimanana ne peut ainsi se prévaloir du titre d’ambassadeur ou de représentant d’une quelconque organisation à Madagascar ; Il ne peut également bénéficier ni d’immunité, ni des privilèges tels que définis par la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques. Tout en se réservant le droit de saisir la Justice, le ministère des Affaires étrangères annonce se désengager de toute responsabilité découlant de l’utilisation desdits documents.
La Rédaction

Troisième édition. L’Organisation de la jeunesse africaine, en collaboration avec la Banque mondiale et l’université de Wharton en Pennsylvanie (Etats-Unis), lance un appel à la participation des entrepreneurs malagasy dans le cadre du concours international « Ideas for Action Africa » (I4A). Il s’agit d’un financement de projet dans le cadre des objectifs de développement durable. Le rôle de la jeunesse et des femmes dans l’atteinte de l’Agenda 2030 sera le thème de cette année. Une présentation s’est d’ailleurs tenue samedi dernier au siège de la Banque mondiale à Anosy. « Nous avons réuni les entrepreneurs malagasy dans l’espoir de trouver le meilleur projet cette année. La Grande île n’est pas en reste puisqu’elle figurait déjà dans le top 3 en 2019. Plus précisément, Madagascar se trouvait à la deuxième place. On espère qu’il en sera de même pour cette troisieme édition », explique Diana Styvanley, responsable en communication au sein de la Banque mondiale à Madagascar.
Avantages

Les finalistes et les gagnants seront sélectionnés par un panel d’universitaires et de professionnels expérimentés en matière de développement, issus d’institutions publiques et privées. Ils auront par la suite la possibilité de présenter leurs idées durant les assemblées annuelles du Fonds monétaire international (FMI) et du Groupe de la Banque mondiale, tout en recevant le soutien d’un incubateur de projets à la « Wharton School ». Les lauréats bénéficieront également d’opportunités uniques de développement des capacités et de réseautage avec des experts du développement international, du monde universitaire et du secteur privé. Il faut noter que ce concours international s’ouvre aux étudiants et jeunes professionnels âgés entre 18 et 35 ans.  L’inscription sera clôturée le 29 février.

Recueillis par Solange Heriniaina

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Editorial

  • Restitution et restitution !
    La première est nette et franche, la seconde incertaine. L’une est le fruit d’une diplomatie combative, l’autre bien qu’éclatante ou bénéficiant d’un tapage médiatique au départ (2018), s’évapore en cours de route pour disparaitre sur l’écran de radar et dont les raisons échappent au commun des mortels. Une série d’évènements aussi importants que douteux jalonnent les deux derniers rendez-vous tant au tête- à-tête au cours de la visite d’Etat que durant le Vème Sommet de la COI. Ainsi, en marge du Vème Sommet de la COI, Dr Navin Ramgoolam, Premier ministre mauricien, restitue de ses propres mains à Rajoelina Andry Nirina, président de la République malagasy, les 22,5 kilos d’or saisis à l’aéroport de Maurice en janvier 2019. « Il m’est particulièrement agréable d’accomplir aujourd’hui un geste qui marque non seulement la qualité des relations bilatérales entre Maurice et Madagascar mais aussi l’esprit qui gouverne la solidarité régionale et la…

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