Publié dans Politique

Pôle anti-corruption d’Antananarivo - 649 dossiers traités en deux ans

Publié le mardi, 22 septembre 2020


Les performances du Pôle anti-corruption (PAC) d’Antananarivo en deux ans de fonctionnalité sont encourageantes. Du moins c’est ce que laissent voir les chiffres rendus par le système anti-corruption à Madagascar hier. Les résultats du PAC sont plus élevés par rapport à son défunt prédécesseur, la Chaîne pénale économique anti-corruption (CPEAC). De 2018 à 2020, le Pôle anti-corruption (PAC) d’Antananarivo a traité 649 dossiers de procédure dont 298 jugés soit un taux de jugement de 46% contre un taux de jugement de 42% pour l’ancienne CPEAC au cours de ses 14 années de fonctionnalité. De juin 2018 à juillet 2020, 54 dossiers soit seulement 8% des affaires traitées au niveau du PAC sont classés sans suite, contre 200 soit 23% des dossiers traités au niveau du CPEAC de 2004 à 2018. 136 condamnations ont été prononcées par le PAC d’Antananarivo en deux ans contre 124 au niveau de la CPEAC en 14 ans.

Fil infos

  • Délestages intempestifs à Antananarivo - Les centrales solaires d’Ampangabe et Ambatomirahavavy bientôt opérationnelles
  • Dépenses publiques - De l’université au Mondial de pétanque, l’Etat mise sur l’éducation et le sport
  • Dernière heure - Le DG de l’ACM limogé
  • Assemblée générale de l’ONU - Madagascar prépare sa vision du « Mieux ensemble »
  • Sous Rajoelina - 200 000 enfants supplémentaires scolarisés à Madagascar
  • Réunion de travail avec le FMI - Le Président Rajoelina plaide pour des réformes favorables aux Malagasy
  • Elections sénatoriales - Feu vert du Gouvernement pour la date du 11 décembre 
  • Actu-brèves
  • Face au CSM - Le Président Rajoelina insiste sur l’indépendance et l’exemplarité des magistrats
  • Actu-brèves

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Rendez-vous acté
    Le Gouvernement confirme. Le scrutin au suffrage indirect pour les élections des sénateurs aura lieu le jeudi 11 décembre 2025. Le prescrit de la Loi organique sur les régimes généraux des élections et référendums a été respecté conformément au texte. Le trio de décision pour que toute élection nationale soit conforme à la loi a pris les dispositions nécessaires. En fait, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) propose, la Haute Cour constitutionnelle (HCC) valide et le Gouvernement confirme. Il faut nécessairement que les trois étapes soient respectées pour qu’un scrutin national ait son caractère légal. Et donc, toutes les conditions sont réunies, on peut donner le coup d’envoi !

A bout portant

AutoDiff